Le Pantheon Hvgvenot découuert et ruiné contre l'aucteur de l'Idolatrie papistique, Ministre de Vauuert, cy deuant d'Aigues mortes . ition,mais de lacte dAbfalon, lappelîant forfait,& difant que Dieu appelle ce forfaict detefta-ble , (on œuure -, ce nefl pas donc la punitionquil entend : (car il neuit pas mis la diiion-ction,To VTESFois,)mais le vice, duquel ilfaid Dieu autheur, &: le Minière eft blafphe-mateur* tenant la foyde Caluin en cecy, &Aduocat de blatpheme, défendant le crimedvn inhgne blafphemateur, quil croit auecblaipheme, eftre faind homme. AFTRE MAXIME DETESTABLEde Calvin, fousle
Le Pantheon Hvgvenot découuert et ruiné contre l'aucteur de l'Idolatrie papistique, Ministre de Vauuert, cy deuant d'Aigues mortes . ition,mais de lacte dAbfalon, lappelîant forfait,& difant que Dieu appelle ce forfaict detefta-ble , (on œuure -, ce nefl pas donc la punitionquil entend : (car il neuit pas mis la diiion-ction,To VTESFois,)mais le vice, duquel ilfaid Dieu autheur, &: le Minière eft blafphe-mateur* tenant la foyde Caluin en cecy, &Aduocat de blatpheme, défendant le crimedvn inhgne blafphemateur, quil croit auecblaipheme, eftre faind homme. AFTRE MAXIME DETESTABLEde Calvin, fouslemte par le Mi//ijlre* Chapitre LXV. Ne des autres maximes,quiverifientle crime de Caluin& du Miniftrc qui le dé-fendait que ce malheureuxtient que Dieu poulfe leDiable, & les eiprirs desmefchans,aux forfaicts,non feulement par vnconcours gênerai, leur donnant les forces na-turelles,par Iefquelles ils pechent,mais enco-BUfpheme re par vne particulière impuliion : le laijfe,decJuiK I. fa^cet te générale motion de Dieu^de laquelle^i ledi Lat comm€ tolites lu créatures font foufîemes, ainfi envr en. ÎÎESCOVVERT 1T RVINE . iJ en prennent-elles force de faire ce quelles parle dé latlion finctale feulement qui Jevoid en chafque forfi/ùt: Nous voyons doncnestre abfirde quvn mefwe forfaill fott attri-bué a ,a Sathan, çr à lhomme. Le Cens deces paroles eit,que Dieu ne concoure pas îeu-lemér. à vne mauuaife action dvn homicide,dvn Urrecin>& lemblable, en tant que natu-relle,donnât le fouille,la force, &c autres qua-lités de nature, à ceux, qui commettent telspéchez, qui eft vn fecours gênerai de Dieu,comme caufe générale, mais encore en la de-formité de laction fpeciale,en laquelle cond-lie le peché.De manière quà ce compte,Dieuelt caufe générale , cV particulière du péché:. Et y a plus de fon œuure au forfaicl:, que nonpas de Sathan , ou du mefehant ; car ceux-cy,lclon cette doctrine, ne font quinllrumés deDieu, & ne font rien fin
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