Étrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . ire, & la nuit eft obfcurc,Le defir nait, tu trembles, tu frémis,11 eft pre/Tant, il touche à ta ceinture,Ton cœur cft pris, ma charmante Clcris, Daphnis heureux , lAmour vole à CychèreChanter viûoire au jardin de Cypris,11 va refler fur le fein de fa mère,Ton c«ur eft pris, ma charmante Cloris, A K O >? I M B« G ilj INVOCATION A LAMOUR. AI R : Nous étions dans cet u^c encore , C-c, D I E u dAmour , accorde ma lyre^ A la tendre Elvire Porte mes accens,Rends lui bien tout ce qu elle infpirc,Mets la volupté dans mes chants. De tes feux pein


Étrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . ire, & la nuit eft obfcurc,Le defir nait, tu trembles, tu frémis,11 eft pre/Tant, il touche à ta ceinture,Ton cœur cft pris, ma charmante Clcris, Daphnis heureux , lAmour vole à CychèreChanter viûoire au jardin de Cypris,11 va refler fur le fein de fa mère,Ton c«ur eft pris, ma charmante Cloris, A K O >? I M B« G ilj INVOCATION A LAMOUR. AI R : Nous étions dans cet u^c encore , C-c, D I E u dAmour , accorde ma lyre^ A la tendre Elvire Porte mes accens,Rends lui bien tout ce qu elle infpirc,Mets la volupté dans mes chants. De tes feux peins-lui tous les charmes I Tes tendres allarmes, Tes brûlans dcfirs,Ton fouris & même tes larmes;Sois lécho de tous mes plaifirs. De ma lyre encor plus touchante; Que ta main brûlante Tire ces accens,Ces foupirs, cette voix mourante jDe tes voluptés doux garanSi Ltriques. lyi Pun bonheur que je nofe dire , Porte au cœur dElvire Le ravifTement :Que mon luth fous tes doigts foupire ,Tout ce que doit taire un Amant ! Par M. B^. G iv x;» , ET RENNES LA PUDEUR DE QUINZE ANS. A * ? uî.pra:voiSANT riunoccnce,Eravcz Ci timidité •,A iaidc d2 l3 décence,Peignez lui la volipté.L?s rofes viennent declor*Sur Ton miaois agité «Et Cà bouche fe décoreDu fourls de la beauté. Lui parler ncû plus un crime, nous la pardonné ,Son foin palpite Se sanimeSous la gaze cmprifonné.Tous fes fwux fe font entendre,Ses penfers font des defirs,Sait-elle quel parti prendreSur la route des plaifirs ? Lyriques; 155 Si fon cœ.T, encor farouche,Défirait vous repouffer,Soudain , puniffez fa bouchePar le plus tendre baifer ;Dans une grotte ifolé un demi jour,La pudeur prend la voléeSur les ailes de lAmour. Par M, CoQVAET, st 154 Étrennes UAMOUR ET LES PARQUES. A 1 R : Du VcuiivUlc dis deux Jumeaux, A X !fiLU tcms heureux de linnocence,Lhomme vivait des milliers d* crimes de lhumaine âchèrent les Dieux tout-puiflans :Des Cicux les fuprêmcs M


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