. Bulletin de la Société botanique de Genève. Fig. 1. — Gloeocapsomorpha prisca, dessiné à la chambre claire, daprès dessections faites dans le matériel paraffiné. Les figures supérieures ont un plusfort grossissement. R. C. del. 282 BULLETIN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (9) voit des cellules groupées par deux ou quatre enveloppées dunmucus zone ; mais ce qui les diffère est la disposition rayonnante desmasses, celle-ci étant le caractère le plus saillant de ces organismes ;en outre, si Ton veut rattacher ces formes aux Cyanophycées, il y acette différence que si la multiplication des cel
. Bulletin de la Société botanique de Genève. Fig. 1. — Gloeocapsomorpha prisca, dessiné à la chambre claire, daprès dessections faites dans le matériel paraffiné. Les figures supérieures ont un plusfort grossissement. R. C. del. 282 BULLETIN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (9) voit des cellules groupées par deux ou quatre enveloppées dunmucus zone ; mais ce qui les diffère est la disposition rayonnante desmasses, celle-ci étant le caractère le plus saillant de ces organismes ;en outre, si Ton veut rattacher ces formes aux Cyanophycées, il y acette différence que si la multiplication des cellules permet larran-gement en corps pisiformes sphériques, on aurait, sil sagissaitdune Chroococcacée proprement dite, la disposition informe acci-dentelle de larrangement des cellules, des colonies de Gleocapsa etdes genres affines. Mais il est évident quà partir dun centre de. Fie-. 2. — Gloeocapsomorpha prisca. Desssins faits à partir du matériel paraffiné. R. C. del. formation lorganisation sest faite, non pas exclusivement par unemultiplication intra-céllulaire gléocapsoïde, mais par une sorte dedichotomie avec inégalité des ramifications qui peuvent alors sedépasser, doù irrégularité clans les corps bothryoïdes, fréquents dansles divers groupes dalgues, des flagellés aux algues brunes depuis lesformes inférieures des Rhodophycées aux plantes plus compliqué rencontre du reste cette dichotomie chez plusieurs Chétopho-racées épiphytes, chez les Coléochétacées et, dautre part, analogueaux arbuscules quon observe dans certaines Protococcacées. Cemode, de développement ne paraît réalisé chez ces Cyanophycées (10) H. LINDENBEIN. LES PROTOPHYCÉES 283 que dans les Gomphosphseria ; mais dans ce dernier genre, il nesemble pas que le centre des thalles soit occupé par des cellules, cesdernières étant constamment refoulées p
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