. Bruxelles aÌ travers les aÌges . ©riode de notre histoire. Le Salon de i836 marque le développement grandissant de la peinture , dont le tempérament saffirmait, exposait son Michel Montaigne visitant le Tasseen prison, que lon appela « un morceau admirable de pensée et dexpression « (1). (1) Le Michel Montaigne fait actuellement partie de la collection Van Praet. CHAPITRE II. 33q Leys, dont le colons sallumait, avait au Salon un Massacre des magistrats de Louvainen 1378; Paelinck, une Abdication de Charles-Quint; Fanny Corr, une Vierge; Schaep-kens, un Everard t Sercla
. Bruxelles aÌ travers les aÌges . ©riode de notre histoire. Le Salon de i836 marque le développement grandissant de la peinture , dont le tempérament saffirmait, exposait son Michel Montaigne visitant le Tasseen prison, que lon appela « un morceau admirable de pensée et dexpression « (1). (1) Le Michel Montaigne fait actuellement partie de la collection Van Praet. CHAPITRE II. 33q Leys, dont le colons sallumait, avait au Salon un Massacre des magistrats de Louvainen 1378; Paelinck, une Abdication de Charles-Quint; Fanny Corr, une Vierge; Schaep-kens, un Everard t Serclacs (i); Van Rooy, un Philippe Van Arteveldc; Wappers enfin,une toile qui marque dans son Åuvre, les Adieux de Charles Ier, belle, large et sincèrecomposition, qui se partagea, avec la Bataille de Courir ai, les honneurs du Salonde i836. Le Salon de i83g fut une étape encore, annonça un progrès, apporta des Åuvresqui attestaient pour lécole belge une notable force de production, des étudessérieuses, un labeur Lhôtel dArenberg. Entrée de la rue aux de Victor De Doncker. Les Trôyens et les Grecs se disputant le corps de Patrocle firent éclater le nom dAntoineWicrtz comme un pétard, et la foule étonnée, attirée, fascinée, fit à ce nouveau venuune entrée bruyante, annonçant un avenir triomphal. Ce que le tableau avait delargement et, si lon peut dire, de grandiosement conçu, lemmêlement des corpsentrelacés dans un combat formidable de géants, la fougue du pinceau, la hardiessede la tentative et en quelque sorte lorgueil ou daucuns diront la vanité qui sedégageait de ce tableau à proportions et à tendances homériques, â la vanitéde se hausser à légal des plus grands, des Rubens, des Michel-Ange, â tout celaremua profondément la foule. On annonça un nouveau maître. Mais quelque louange quon lui adressât, Wiertz nen devait pas être satisfait.
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