Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . e penfons pas que, fagement ce font des études hifloriques auffi employés, durant ladminiflration du bien que des études médicales que Gayac &. des autres fudorifîques, ils nous pourfuivons. aient jamais offert des dangers réels; (2) Plufieurs des propofitionsquon Loin de là, ils peuvent avoir des ef- vient de lire font non-feulement exa- fets falutaires, que leur mode dac- gérées, controverfab
Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages . e penfons pas que, fagement ce font des études hifloriques auffi employés, durant ladminiflration du bien que des études médicales que Gayac &. des autres fudorifîques, ils nous pourfuivons. aient jamais offert des dangers réels; (2) Plufieurs des propofitionsquon Loin de là, ils peuvent avoir des ef- vient de lire font non-feulement exa- fets falutaires, que leur mode dac- gérées, controverfables, mais enta- tion bien connu nous difpenfe dénu- chées derreur : fi nous ne les relevons mérer : les ablutions froides font pas ici, ceft quelles font reproduites feules fufceptibles dêtre loin, fous diverfes formes, avec CHAPITRE XI. T)e ïimervemion des médecins durant le nahemem par leGayac ( l ). N me foupçonne, je le fais^ de repouf-fer, dune manière abfolue^ les confeilsdonnés par les médecins : telle na ja-mais été ma penfée. Jengage feulementà choifîr un do(fleur favant & fage qui ne foit pas toujours difpofé à prefcrire toute efpèce. (i) Tous ceux qui ne partagent auffi maltraités, dans ce chapitre,pas le fentiment de Hutten fur les que les charlatans &. les mé du Gayac, qui fe permettent Sa foi, -pleine & entière, ne lui per-de douter, qui ne regardent pas ce met plus la tolérance, lui fait rejeterremède comme un fpécifique, &. cher- toute expérience nouvelle,chent dautres moyens curatifs, font CHAPITRE XI. 7y de drogueSj & qui connaiffe parfaitement la méthodedadminiftrer le Gayac. Gardez-vous de ces doéleurs quela cupidité pouffe à ne donner que des remèdes exoti-ques, importés, par exemple, des fources du Nil; leurprix élevé eff: la bafe du mérite quon leur accorde. Je nepermettrais pas à de tels hommes la vue dun malade,même au travers dune grille ou dun treillage. Jai coni-tat
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