. Revue de l'art chrétien . © transportée dans unecroix de cuivre. Et depuis dix ans dans unedargent que les religieux ont achepté. »Cétait une des épines dont Riant regar-dait lidentification comme certaine. Onconnaît dailleurs laffection toute particu-lière que saint Louis portait à Royaumont,où sabritait Vincent de Beauvais, son ami, 1. Egalement publiées dans HautcÅur (Labbé E ),Cartulaire de labbaye de Flines, Lille, Quané, 1873, in 8,p. 122, N cci. 2. Le reliquaire de saint Louis a disparu vers Åur (Labbé E.), Histoire de labbaye de Flines,Paris, Dumoulin, 1874, in


. Revue de l'art chrétien . © transportée dans unecroix de cuivre. Et depuis dix ans dans unedargent que les religieux ont achepté. »Cétait une des épines dont Riant regar-dait lidentification comme certaine. Onconnaît dailleurs laffection toute particu-lière que saint Louis portait à Royaumont,où sabritait Vincent de Beauvais, son ami, 1. Egalement publiées dans HautcÅur (Labbé E ),Cartulaire de labbaye de Flines, Lille, Quané, 1873, in 8,p. 122, N cci. 2. Le reliquaire de saint Louis a disparu vers Åur (Labbé E.), Histoire de labbaye de Flines,Paris, Dumoulin, 1874, in S°, pp. 77 et 374. 322 3&rt>uc tic l&rt chrétien. et dont labbé, en 1270, fut nommé par leRoi, dans son testament, un de ses exécu-teurs testamentaires. Orval. â On naurait vraiment pu soup-çonner, si le reliquaire aujourdhui à Saint-Amand de Montrond (Cher) nétait parve-nu jusquà nous, que la croix de vermeil delabbaye dOrval contenait, non pas un frag-ment de la vraie croix, mais une épine et des. Croix dOrval. reliques du lait de la Vierge. Linscription,du temps de saint Louis, les armes du Roiet de Blanche de Castille, la tradition enfin,constatée par une inscription que fit graverle grand Condé en 1651, en offrant la basedargent qui la devait supporter, nous per-mettent de ranger cette épine au nombre decelles qui viennent assurément de la Sainte-Chapelle. Mais son origine est absolument in-connue. On doit supposer que lintervention des Seuly, nouveaux seigneurs dOrvalaprès 1250, a pu déterminer la générositéde saint Louis. Voici ce que porte le pied du XVIIesiècle (). SERENISS. PR. REG. SANG. HENR. LVDOVIC. ENGHIENENS. VIC TENVI CRVCI PRETIOSISSIMETEMPORE S. LVDOV1CI RÅGIS E1VS. PROAVi FABRICAT/E1JASIM ARGENTEAM ADOIDIT. AN. GR. MDCLI. MENSE AVG. Senlis. â Le don de lépine de Senlis,par Adam de Chambly, à sa cathédrale, en1242, peut paraître presquun authenti


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