. Le pegme de Pierre Covstav . teftable5<$£ me scble que iediray la vérité en cecy ce que dônoit an*ciennementmauuais bruit aux nationsde Grece5étrc auiourdhuyrctûbéfuslesprocureurs des fieges ÔC cours. Car toutainfj que la vieileGrecea toujours étéréputé maitraiflfe de toute difeiplinc 5 ôcAthènes înuentrices de bonnes feiencesâC neâtmoins nont iamais eu le bruitde bône foy ÔC intégrité : mêmes quen*uers eux tant étoit vulgaire moy ton temognage pour la pareille5que ceux qui entre euxncnten*doient la langue Greque, pour le grandcoure de ce prouerbe le fçauoient parcceurrau
. Le pegme de Pierre Covstav . teftable5<$£ me scble que iediray la vérité en cecy ce que dônoit an*ciennementmauuais bruit aux nationsde Grece5étrc auiourdhuyrctûbéfuslesprocureurs des fieges ÔC cours. Car toutainfj que la vieileGrecea toujours étéréputé maitraiflfe de toute difeiplinc 5 ôcAthènes înuentrices de bonnes feiencesâC neâtmoins nont iamais eu le bruitde bône foy ÔC intégrité : mêmes quen*uers eux tant étoit vulgaire moy ton temognage pour la pareille5que ceux qui entre euxncnten*doient la langue Greque, pour le grandcoure de ce prouerbe le fçauoient parcceurraufsi combienquenous puifsionsappeller les cours théâtre de toutes difeiplines5il feroit toutefois difficile dentreceux qui font lcans nômés procureurs^trouu~rvn auquel peut donner titre defoy ÔC honéteté. Car qui contre le fer*met par eux prêté en public reçoiuêt eaufes mechâtes qui en fraude des paouurescréanciers qui par délais impetrés du iu*ge font différer le payemét de iuftes fom J. mes a vn tas de renieurs de vielles détesqui en caufe inique ne veullentpafsercondénation: qui par petites promeiTesÔC tricafseries(comme d>tVarro)obfcurciiTentles chofes claires : quelle efpered honefteté telles gens fembtent apportter à la plaidoirie. Mais comme aux Pheniffes d Euripides, Ethercles penfequesil eft iamais permis de violer le droitceftpour peruenirau Royaumc:es au^très chofes faut être home de bien:! aufsices pcrsônages la gardent religieufemetles ieunes ÔC cérémonies des fêtes . Et àbonne caufe: ÔC font grande confeiencede violer la foy,fi non que sil eft queftiôdargët: pour laquelle encores que DieuÔClcs hommes en d:ufsét être auertis,ilzvoudroient entreprendre tout il ne haiffenttant linfamie quilzaym ent largent, qui leur eft plus aymable Se en pris que nulle autre chofe. Ceque ie ne veus être dit pour ceus qui enplaine audiéce lurent faucemet que pourperuenirà quelque magiftrat ilz nontbaillé auc
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