. Annales des Sciences Naturelles Botaniques. 192 GEORCiEiS et dans lesquelles, sur des matériaux d'herbier,j'ai pu mettre ces formations en évidence avec la plus entière certitude), et même dans le-S'<^/ymz^(fîg. 19). Quanta la distinction à établir entre les Cyathéacées elles Polypodiacées sous le rapport de l'abondance de celte production, je ne crois pas qu'elle puisse être maintenue, car j'ai trouvé des cals dans toutes les Poly- podiacées où je les ai cherchés dans des tubes criblés complè- tes recherches des auteurs précédents, était celle relative à la perforation des tub
. Annales des Sciences Naturelles Botaniques. 192 GEORCiEiS et dans lesquelles, sur des matériaux d'herbier,j'ai pu mettre ces formations en évidence avec la plus entière certitude), et même dans le-S'<^/ymz^(fîg. 19). Quanta la distinction à établir entre les Cyathéacées elles Polypodiacées sous le rapport de l'abondance de celte production, je ne crois pas qu'elle puisse être maintenue, car j'ai trouvé des cals dans toutes les Poly- podiacées où je les ai cherchés dans des tubes criblés complè- tes recherches des auteurs précédents, était celle relative à la perforation des tubes criblés. Dans une note antérieure, j'ai admis, d'accord en cela avec MM. de Janczewski et Rus- sow, que ces cribles n'étaient pas perforés, et de fait, si on étudie les membranes sur des matériaux frais, même à l'aide des réactifs colorants, les cribles paraissent séparer complè- tement deux articles contigus ou superposés, et il ne semble pas y avoir de communication. Mais si l'on applique à ces recherches les méthodes en usage pour mettre en évidence les communications protoplasmiques intercellulaires, il faut, je crois, arriver à conclure à la perforation. La chose. tement formés ; et dans certaines espèces, comme le Woodwar- dïa radicans^ les cals sont aussi développés que dans toutes les Cyathéacées que j'ai vues. Fig. 19. —Salvniia natans. — Tubes criblés. A,B, deux tubes moutrant les cloisons transverses inégale- ment inclinées ; C, une cloison transverse vue à plat, montrant les cals ; D, pores isolés sur une cloison longitudinale (gross. 550). D'autre part, contrairement à l'avis de M. Russow, qui ad- met l'existence de cals dans les Marattiacées et les Ophioglos- sées, je crois pouvoir affirmer pour VAngiopteris, que cette plante n'a pas de cals dans ses tubes criblés, et quantàTOphio- giosse, leur absence complète chez cette plante n'est pas dou- teuse. Une secondequestion, quires- tait encore à résoudr
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