. Journal d'agriculture pratique. a variation deprofondeur du travail (0™.13 à O™.!?), laquelleest due à la roue de devant qui, en suivant lesondulations du terrain, fait subir autant de fluc-tuations à lelfriteur et, par, suite, à la profon-deur du travail. Les chilîres de 050 à 750 kilogr., qui peuventparaître relativement élevés, représentent un tra-vail de parfaite pulvérisation dont on ne pour-rait approcher que de très loin avec nos instru-ments actuels et après de multiples travaux SOCIÉTÉ DES VITICULTEt RS DE rRANCE 343 combinés de labours, scarifiages et hersapes. Ces chiffres sont da


. Journal d'agriculture pratique. a variation deprofondeur du travail (0™.13 à O™.!?), laquelleest due à la roue de devant qui, en suivant lesondulations du terrain, fait subir autant de fluc-tuations à lelfriteur et, par, suite, à la profon-deur du travail. Les chilîres de 050 à 750 kilogr., qui peuventparaître relativement élevés, représentent un tra-vail de parfaite pulvérisation dont on ne pour-rait approcher que de très loin avec nos instru-ments actuels et après de multiples travaux SOCIÉTÉ DES VITICULTEt RS DE rRANCE 343 combinés de labours, scarifiages et hersapes. Ces chiffres sont dailleurs susceptibles devarier suivant la vitesse de leffrileur, la consis-tance et létat dhumidilr dun même terrain, età plus forte raison suivant les diflerents sols. 11 faut enfin remarquer que leffort de Inactionnéressaire à leffrilaf^e proprement dit est de400 à 500 kilogr., et il est dès lors po-sible den-visager les réels avantages qui ré?ulteraient delemploi combiné dun moteur, qui aurait pour. Firr. 55. — Vuelatérale de lcUriteuse de M. -Xavier Charmes. but dactionner leffriteur, et dun attelage trac-leur qui aurait pour simple mission de faireavancer linstrument. Telles sont dailleurs les idées de M. Charmes, qui doit les mettre en pratique aussitôt que sonetiriteur seia tout à fait au point. Tony 1!.\llu, In^i-nieur agronome,Agriculteur à Cliellos (.Soinc-et-Marne.) SOCIÉTÉ DES VITICULTEURS DE FRANCE La récente Assemblée générale a été particu-lièrement intéressante par la variété des ques-tions qui y ont été discutées. — M. Gazelles a ex(>osé, avec •?a netteté hahi-tuelle,la situation vinicole, quil estime très favo-rable au maintien des prix rémunérateurs,) lesstocks actuels devant être épuisés avant la ré-colte prochaine de 1910. — I-a lutle contre les insectea ampélopbages esttoujours à lordre du jour, toutes les régions viti-colessen préoccupent: MM. Capus etFeyIaud enGironde, MM. Perraut e


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