Tissus et nouveauts 1900 . boutique était ouverte, lauvent sur larue. létalage au dehors, jusquau XVle siècle, et chacun pou-vait v plonger son regard. Les laceurs de soie employaient aussi beaucoup de femmes ;crépiniers, tissutiers et tisserandes fabriquaient des cordonspour les aiguillettes, des lacs pour les cachets de cire, dessceaux, pour les flacons, pour les harnais, pour les épaulettes,des bandes de .-oie ou dorelots, rubans qui ornaient les costumeset ipii atteignirent un luxe inoui ; à une certaine époque, on enmit partout, et les dorelotiers tirent fortune. Linfidélité étaitsévèreme


Tissus et nouveauts 1900 . boutique était ouverte, lauvent sur larue. létalage au dehors, jusquau XVle siècle, et chacun pou-vait v plonger son regard. Les laceurs de soie employaient aussi beaucoup de femmes ;crépiniers, tissutiers et tisserandes fabriquaient des cordonspour les aiguillettes, des lacs pour les cachets de cire, dessceaux, pour les flacons, pour les harnais, pour les épaulettes,des bandes de .-oie ou dorelots, rubans qui ornaient les costumeset ipii atteignirent un luxe inoui ; à une certaine époque, on enmit partout, et les dorelotiers tirent fortune. Linfidélité étaitsévèrement punie: les fils de la chaîne étaient comptés ; —? lesmesures devaient être absolument conformes au type déposé à.la corporation. Les ateliers de crépiniers, fabricants de passementerie, étaientsurtout composés de femmes: les passementeries de soie, dor,dor et dargent, tressons, franges, orfrois, attaches, sortaient deleurs mains. Les tailleurs de robes étaient nos couturiers. Le maître on la. 1833. - Ch ; en gros de Naples. Peignoir en chaly. Hobe depoult de soie. maîtresse coupaient seuls les étoffes; les apprenties ou lesvalets étaient soumis à une amende sils taillaient eux-mê exception, ils travaillaient souvent la nuit, obligés determiner de ricins costumes pour les seigneurs et nobles dames ;aussi le métier était-il déclaré noble. On ne veillait toute lanuit, cependant, (pie pour le roi ou la reine. Quant aux braliers, ils confectionnaient des braies, sortes deculottes, en toile, soie, cuir ou drap ; peu de femmes sy consa-craient, sauf les épouses des patrons. La loyauté du travail et la qualité de la marchandise étaientde rigueur et surveillées par la corporation,qui tenait à honneurdêtre bonne et honneste; le compagnon, la maîtresse,louvrière infidèles, après plusieurs peines et amendes, étaientimpitoyablement chassés ; lœuvre mauyaise était condamnée àarâoir, à être brûlée. Les apprentissages var


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