Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . © Medici, quon a fait venirégalement de Soncin, et dont le nom paraîtnêtre cpie la traduction latine du vieuxfrançais le Mire ou Miège(médecin .Mieux encore faut-ilrejeter lesCroppet, qui ne sontpas plus italiens qualle-mands. Le P. Comtet vientde démontrer, dans un travail(Les Origines de la fa mille Croppet) publié par la Revue du Lyonnais (avril 18961,que cette famille était exclusivement dorigine heau-jolaise. Cest un lait qui était connu des cruditsversés clans la connaissance
Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . © Medici, quon a fait venirégalement de Soncin, et dont le nom paraîtnêtre cpie la traduction latine du vieuxfrançais le Mire ou Miège(médecin .Mieux encore faut-ilrejeter lesCroppet, qui ne sontpas plus italiens qualle-mands. Le P. Comtet vientde démontrer, dans un travail(Les Origines de la fa mille Croppet) publié par la Revue du Lyonnais (avril 18961,que cette famille était exclusivement dorigine heau-jolaise. Cest un lait qui était connu des cruditsversés clans la connaissance des généalogies lyon-naises, tels que MM. Amédée dAvaize. Oct. de Viry,William Poidebard, Georges Péricaud, etc., mais quinavait pas été divulgué. Le P. Comtet a donc renduservice à la vérité historique en détruisant définiti-vement les fausses légendes relatives à celte contre, il faut ajouter deux noms italiens quenous fournissent les précieux registres domestiquesde la bibliothèque de Veina : Jean dAlbenga, offi-cier de la maison du comte en i3il$ et Alzear de Son-. laut G Cuininune de Soncin Territoire BerqnmiTiqueC â de Crenia. TC â de Crèmoae. TB â de Brescia. Fig. Coa. LA COMMUNE DE SONCIN et lagglomération de Calcio. Daprès feu M. le comteFrançois Galantino et lucurie de lêtat-major au- trichien,chino, comme écrivait lintendant du comte pour rendre la prononciation du c italien. en 13oo, il ne pouvait plus prétendre quà ses possessions dItalie ;les domaines de France, les seigneuries de Castres et de Lési-gnan, ayant été, malgré ses réclamations, attribuées à sa tanteEiéonore de Montfort, comlesse de Vendôme, moyennant uneindemnité de 3ooo livres tournois au comte de Forez et à sa LA SÃNÃCHAUSSÃE DE LYON /|85 sÅur. Peu après sou beau-frère, Guy de Viennois, frère duDauphin, ayant suivi Ame V, comte de Savoie, qui s
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