. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. 638 REI [reinette can] Forme : passant de la globuleuse légèrement allongée et cylindrique, à la conique- raccourcie ; mais elle a généralement un côté plus volumineux que l'autre et presque toujours est fortement plissée au sommet. â Pédoncule : assez court, bien nourri, droit ou arqué, profondément inséré dans un vaste bassin à bords inégaux. â Åil : très-grand, régulier, ouvert ou mi-clos, à cavité


. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. 638 REI [reinette can] Forme : passant de la globuleuse légèrement allongée et cylindrique, à la conique- raccourcie ; mais elle a généralement un côté plus volumineux que l'autre et presque toujours est fortement plissée au sommet. â Pédoncule : assez court, bien nourri, droit ou arqué, profondément inséré dans un vaste bassin à bords inégaux. â Åil : très-grand, régulier, ouvert ou mi-clos, à cavité très-développée et constamment bossuée sur les bords. â Peau : épaisse, un peu rude au toucher j jaune d'or, tachée et marbrée de fauve et de brun clair, abondamment semée de larges points gris très-rugueux, puis lavée, à bonne exposition solaire, de rouge Pomme Reinette du Canada. - Premier lie de vin. â Chair : jaunâtre, fine, mi-tendre et légèrement croquante. â Eau : abondante, sucrée, fortement acidulée, possédant toute la délicate saveur parti- culière aux Reinettes. Maturité. â Janvier-Mars. Qualité. â Première. Historique. â Je l'ai dit en décrivant la Reinette d'Angleterre (p. 618), presque tous les pomologues modernes l'ont confondue avec la Reinette du Canada ici caractérisée. Ces deux pommes ont réellement entr'elles de grands rapports, mais leurs arbres â maintenant on peut s'en assurer â sont loin de se ressembler. Et c'est uu fait qu'eussent reconnu nombre d'écrivains horticoles s'ils n'avaient parlé que des fruits dont ils possédaient les arbres. Etienne Calvel, en 1805, eut le mérite, dans son Traité sur les pépinières (t. III, pp. 52-53), de ne commettre à cet égard aucune méprise. Après avoir, sous le n° 39, étudié le pommier Grosse-Reinette d'Angleterre, il dépeignit, sous le n&qu


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