. Contribution a l'étude des Ãpicarides les Bopyridae. Bopyridae; genealogy. 12 se dilate fortement dans l'embryon, surtout dans la famille des Cryptoniscidae ('), et apparaît comme une tache foncée à la partie postérieure du corps. Dans nos premiers travaux sur les Epicarides, nous avons indiqué avec quelques réserves, le professeur Giard et moi, comment nous comprenions la morphologie des derniers stades embryonnaires précédant l'éclosion. Après avoir examiné depuis des embryons appartenant à peu près à toutes les familles, il me semble que l'interprétation la plus plausible est
. Contribution a l'étude des Ãpicarides les Bopyridae. Bopyridae; genealogy. 12 se dilate fortement dans l'embryon, surtout dans la famille des Cryptoniscidae ('), et apparaît comme une tache foncée à la partie postérieure du corps. Dans nos premiers travaux sur les Epicarides, nous avons indiqué avec quelques réserves, le professeur Giard et moi, comment nous comprenions la morphologie des derniers stades embryonnaires précédant l'éclosion. Après avoir examiné depuis des embryons appartenant à peu près à toutes les familles, il me semble que l'interprétation la plus plausible est la suivante : Quand l'embryon est recourbé dorsalement sur lui-même, en le considérantde profil, on voit d'abord que toutes les ébauches des appendices des diverses parties du corps présentent la plus grande ressemblance, mais elles ne tardent pas à se différencier ; c'est d'abord à l'extrémité antérieure, sur le renflement céphalique. une paire de petits bourrelets qui se touchent presque sur la ligne médiane et qui représentent les antennules qui, chez les Epicarides, auront toujours un développement peu considérable. Il n'en est pas de même pour les antennes qui, surtout dans des stades larvaires, atteindront souvent la moitié de la longueur de l'animal ; aussi les voit-on se développer dès lors de telle manière qu'elles sont forcées de se replier deux fois sur elles- mêmes pour se loger sous la membrane \à telline. Les mandibules se montrent sous la forme de deux petites éminences saillantes presque juxtaposées sur la ligne médiane et visibles seulement quand on considère l'embryon par la face ventrale : la position centrale de ces bourgons les a d'abord fait prendre pour les rudiments des lèvres supérieure et inférieure, mais celles-ci sont de formation secondaire et n'apparaissent qu'ultérieurement pour former le rostre : ce ne sont que de simples repli
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