. Les oeuvres de mr Poisson . qua fait Dom Pedro reiid mon ame étonnée : jVous en ferez furpris. 1^ LE FOU D. AIPHONGE. Donnez-ini quelque erpoir, faut gagner Madrid , je ferai mon devoir jDomPedre vaut beaucoup, Ifabelle efl: fenfible. ISABELLEàD. Pedre mot eft à mon fens aflèz intelligible. D. tous dIlefcas, & nous en parlerons, dîner , Meflîeurs, & puis nous partirons. F E L I C I A fous font bienheureux , & je vois quavec honte,Les morts & les blefles en auront pour leur compte, D. avez fait les fous pour me fervir
. Les oeuvres de mr Poisson . qua fait Dom Pedro reiid mon ame étonnée : jVous en ferez furpris. 1^ LE FOU D. AIPHONGE. Donnez-ini quelque erpoir, faut gagner Madrid , je ferai mon devoir jDomPedre vaut beaucoup, Ifabelle efl: fenfible. ISABELLEàD. Pedre mot eft à mon fens aflèz intelligible. D. tous dIlefcas, & nous en parlerons, dîner , Meflîeurs, & puis nous partirons. F E L I C I A fous font bienheureux , & je vois quavec honte,Les morts & les blefles en auront pour leur compte, D. avez fait les fous pour me fervir tous deux $Votre fortune efl faite, & vous ferez heureux, C R I S P I voyez , la fagelfe eft ma foi trop faut faire les fous pour faire fa fortune, P I N. L E BARON D E LA CRASSE. C O M E D 1 E. A C T E V R s. LE BARON DE LA CRASSE, LE MARQUIS. LE CHEVALIER. LE COMEDIEN. MARIN, Valet du Baron de la CrafTe; i^a Scène efl dans le Château an Baron de UCrajfe, e?2 Languedoc» tt §9. BARON D E LA CRASSE. COMEDIE. SCENE MARQUIS,LE CHEVALIER, LE CHE L 1ER. ^^^>^gt^^ O I c I donc le Gnâteciu du Baron Ôq- i^^fe-^irà On difoic que céroiî un G beau iievi-^^Éi de Chaife. IE MARQUIS,Ceft que lon fe râilloir : niais pour ton reconforCj»Torwe I. là f)(y LEBARON Crois que ce Campagnard nous divertira forri LE enfin , ce Baron, quelque fat quil puifTe être ^Voyant que je nai pas liionneur de le connoître^Croira bien , sil lui refte un peu de jugement,Que lon men veut donner le divertifiement. LE quand il le croira , queft-ce que lon hazardeîîCeft un Baron , te dis-je , à foufFrir la na depuis dix ans forti de Ton Château,Que lautre jour quil fut jufqu à Fontainebleau^Ou Ton malheur le fit berner dune manièrefort pîaifante, dit-on. Se fort particuliè tout ce que jen fçai : mais je veux aujourdhuiTâcher adroitement à lapprendre de lui. LE î TafFronteft grand, voudroit-
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