. De Dakar au Niger; la question du chemin de fer et la mise en valeur des territories de la Sénégambie et du Niger . is de lannée, selivrent au travail de lor; mais en tenant compte de la journée derepos hebdomadaire que prennent le vendredi les mineurs, nouscompterons seulement cent journées de travail dans la part, bien que le bénéfice des chercheurs dor soit extrê-mement variable, on peut admettre que le rendement moyen de la — 112 — journée de travail est au minimum de I IV. par indigène il a étéévalué ailleurs à I IV. 50 et même à 2 IV. Dans ces conditions cepen-dant la pro
. De Dakar au Niger; la question du chemin de fer et la mise en valeur des territories de la Sénégambie et du Niger . is de lannée, selivrent au travail de lor; mais en tenant compte de la journée derepos hebdomadaire que prennent le vendredi les mineurs, nouscompterons seulement cent journées de travail dans la part, bien que le bénéfice des chercheurs dor soit extrê-mement variable, on peut admettre que le rendement moyen de la — 112 — journée de travail est au minimum de I IV. par indigène il a étéévalué ailleurs à I IV. 50 et même à 2 IV. Dans ces conditions cepen-dant la production totale ne serait pas inférieure à 2 millions . I. \.r> quelques changeurs établis à Satadougou achètent à eux seuls chaqueannée de 80 à IV. dor. CONCLUSIONS Nous avons écarté avec soin de cette étude toute considération(cclinique et nous nous en sommes constamment tenu à nenvisa-ger que le coté purement économique de la question. A ce seul point de vue nous avons cru pouvoir poser en prin-cipe dès le début que le Thiès-Talary, du fait quil réduirait den-. Vue de Bamako. viron 70 kilomètres la distance totale à parcourir de la cote auNiger, contribuerait plus largement que le Thiès-Kaves à la mise•en valeur des territoires du Soudan. La voie ferrée Thiès-Talary,plus libre de ses tarifs que ne pourrait lêtre la voie Thiè redoutant moins que cette dernière la concurrence dufleuve Sénégal, qui cependant conserverait sa zone dinfluencepropre, aurait à assurer non plus seulement une partie, mais la — 114 — presque totalité des transports que nécessitera le trafic croissant dela riche vallée du Niger . Nous nous sommes particulièrement attaché à fournir les élé-ments susceptibles de permettre dapprécier lintérêt local présentépar chacune des régions que traversera dans lun ou lautre cas, lafuture voie ferrée, de Thiès à son point de jonction avec la lignedu Soudan. A ce point d
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