Le tutti orchestral . ner, lui aussi Ht quelques légères retouches à lorchestrationbeethovènienne. à celle de la IX symphonie notamment; ceci amenaGounod à écrire une protestation indignée qui eut un certain retentis-sement. Voici quelques-uns des changements que R. Wagner introduisitdans le Scherzo de la IX= symphonie. Au premier fortissimo et aux iJasstiges correspondants (^ thème), la K fliite jouera les si bémols aigus que Tauteur na pasosé écrire. A lexplosion ff. en rr mineur, du thème principal {rentrée decelui-ci, à la 2« reprise, après les modulations en mi mineur et fa ma-jeur


Le tutti orchestral . ner, lui aussi Ht quelques légères retouches à lorchestrationbeethovènienne. à celle de la IX symphonie notamment; ceci amenaGounod à écrire une protestation indignée qui eut un certain retentis-sement. Voici quelques-uns des changements que R. Wagner introduisitdans le Scherzo de la IX= symphonie. Au premier fortissimo et aux iJasstiges correspondants (^ thème), la K fliite jouera les si bémols aigus que Tauteur na pasosé écrire. A lexplosion ff. en rr mineur, du thème principal {rentrée decelui-ci, à la 2« reprise, après les modulations en mi mineur et fa ma-jeur); les 1^^ et 2 violons, ainsi que les altos, au lieu de jouer lesnotes si h, la, sol, fa, telles quelles sont écrites, les joueront à loc-tave aiguë : le thème apparaîtra ainsi dans sa forme intégrale assezdéfigurée dans la version originale, Beethoven nayant pas osé écrirele si h suraigu. Le deuxième fortissimo de la première reprise itutti. 2-thème), seradisposé de la sorte : - 34 —. Violoncelles etContrebasses Les cors en si\> bas sonnent une 91 majeure plus bas (donc à loctave grave des clarinettes); les corsen rr sonnent une 71L mineure plus bas (le passag-e ci dessus sonne donc à loctave au-dessusdesbassons). Transformation que Wagner justifie en ces termes :« Incontestablement, en perdant 1 ouïe, Beethoven perdit aussi, enl)artie, le don de se représenter ce que jappellerais limage auditive(Gehorbild) do son orchestre, la conscience des relations dynamiquesde son Mozart et Haydn, toujours certains de laforme orchestrale de leurs idées, nemploient jamais les ini-trumentsen bois, relativement faibles, de manière à leur attribuer une puis-sance de sonorité égale à celle du quatuor des instruments à cordesBeethoven, au contraire, ne tient souvent aucun compte des relationsnaturelles de ces forces sonores. Il se sert des instruments à vent(bois) et du quatuor comme de deux complexes dinstruments égalc-ments p


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