. Bulletin de la Société botanique de Genève . ides, tige ciirtiqnéc jiar îles racines etfortifiée par ces dernières; lépi-dernie a été enlevé- (Dessin de AV. \.) BLî DK LA sociHiK BOTAMorK DE (iKXKVK. i\|js l-i-O. narus le 26 tev. 191 ? 234 ISULLKTIN LIE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (127) sclérifiées ; ceci leur ;)ssiire sans doute une flexibilité plus giaude couiiiiecela se voit dajis la structure de beaucoup de tiges de lianes, parexemple dans une Aristoloche à péricycle fibreux séparé du cylindrecential par un tissu mou. Il est à supposer que cette strnctuie donneà ces menus \ ég


. Bulletin de la Société botanique de Genève . ides, tige ciirtiqnéc jiar îles racines etfortifiée par ces dernières; lépi-dernie a été enlevé- (Dessin de AV. \.) BLî DK LA sociHiK BOTAMorK DE (iKXKVK. i\|js l-i-O. narus le 26 tev. 191 ? 234 ISULLKTIN LIE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (127) sclérifiées ; ceci leur ;)ssiire sans doute une flexibilité plus giaude couiiiiecela se voit dajis la structure de beaucoup de tiges de lianes, parexemple dans une Aristoloche à péricycle fibreux séparé du cylindrecential par un tissu mou. Il est à supposer que cette strnctuie donneà ces menus \ égétaux, sollicités parfois par le poids de leau de pluieabsorbée pai les feuilles, imbriquées comme celles diui Spbagnurn, ousollicités, dans les lieux découverts, par le vent qui secoue les brandiesou par tout autre cause mécanique, la résistance à une traction longi-tudinale (|iii |)()uirait amener à la rupture de la tige mince. JNus expé-riences monlrent que des échantillons dIieiluer mis dans Teaii pouqxiit. A B Fig. 95. — A : section dans la tige du Tillandsia polytricliioides. On voit aucentre les faisceaux englobés dans des bandes de sclérenchyme : danslécorce, neuf racines, à écorce scléreuse, en noir; B : Tillandsia pseudo-stricta nob. — cylindre central avec nombreux faisceaux et racines corti-cales. (Dessin de W. V.) jusquà six fois leur poids de ce liquide, à la façon des mousses citéérience nous apprend que ces câbles en miniature supportent unpoids de 950 gr. par tige renforcée de trois racines. Dans lune, c{uine possédait quun seul câble radicellaiie, la rupture sest faite à510gr.; à six ou sept racines, il faut déjà un poids de 1850 gv. Ceciéquivaut par millimètre à une résistance qui est égale au tiers desmeilleures fibres. Mais on doit songer à ceci que jamais ces petitesplantes nont à subir des tractions aussi grandes. Dailleurs, par leur mode de fixation an moyen de racines prenantes,ces p


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