Traité d'anatomie humaine . ntôt réunies en petits groupes, sont volu-mineuses (50 à 60 \i. en moyenne), arrondies ou légèrement piriformes (fig. 707,1).Meynert, en raison de leur forme sphérique et de leur aspect boursouflé, leuravait donné le nom de cellules vésiculeuses. Longtemps on les a considéréescomme dépourvues de prolongements protoplasmiques. Kolliker sest élevécontre cette assertion et, dans la dernière édition de son traité diiistologie, il lesdécrit comme étant multipolaires. Dans un travail récent, insfUé dans le Monitore 0RIGI>;ES et terminaisons réelles des nerfs CRANIENS 8
Traité d'anatomie humaine . ntôt réunies en petits groupes, sont volu-mineuses (50 à 60 \i. en moyenne), arrondies ou légèrement piriformes (fig. 707,1).Meynert, en raison de leur forme sphérique et de leur aspect boursouflé, leuravait donné le nom de cellules vésiculeuses. Longtemps on les a considéréescomme dépourvues de prolongements protoplasmiques. Kolliker sest élevécontre cette assertion et, dans la dernière édition de son traité diiistologie, il lesdécrit comme étant multipolaires. Dans un travail récent, insfUé dans le Monitore 0RIGI>;ES et terminaisons réelles des nerfs CRANIENS 861 zoologico de 1894, Lugauo nous apprend que sur 68 cellules \ésiculeuses, quil aclairement observées chez le lapin, 33 étaient privées de prolongements proto-plasmiques, 31 en avaient un seul, long de 30 à 150 y., 3 en avaient deux, 1 enavait trois. Les cellules en question ne possèdent donc quun appareil protoplas-miquc rudimentaire. Leurs cylindraxes, dont lorigine et le trajet ont été bien. -J)
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