. Plutus, rival de l'amour; comédie . igerai peut-être à me céder fon rôle. Sil Comédie. 41 Sil sy refufe ? alors il croie mempêcher daffifterà la fcene fur laquelle nous fondons notre efpérance?mais Madame Perrin men ménagera le pas de ton côté ces vers que je tai donnés ce qui peut feul faire notre bonheur ? attendant que le Bailli arrive, repaffe-les ; &pour ne point te diflraire, je vais revoir sil ny arien à corriger au dernier couplet pour les Filles duvillage. bon : ( Ils fe mettent tous detia à leur rôle, )tu nas pas befoin de tes table
. Plutus, rival de l'amour; comédie . igerai peut-être à me céder fon rôle. Sil Comédie. 41 Sil sy refufe ? alors il croie mempêcher daffifterà la fcene fur laquelle nous fondons notre efpérance?mais Madame Perrin men ménagera le pas de ton côté ces vers que je tai donnés ce qui peut feul faire notre bonheur ? attendant que le Bailli arrive, repaffe-les ; &pour ne point te diflraire, je vais revoir sil ny arien à corriger au dernier couplet pour les Filles duvillage. bon : ( Ils fe mettent tous detia à leur rôle, )tu nas pas befoin de tes tablettes, puifque tout eftfait 5 donne-les moi ! PERRIN , lui donnant les as raifon, tu pourras à ce moyen répéter fansmoi. Mais prenons garde que le Bailli ne les voiefur-tout I crois bien.( Babet fait des gejîes comme fi elle rêpétoit fon rôk^i3^ tient les tablettes. ) PERRIN , en lifant fon mal : ( fixant Babet ) Eh i ce font ces gefles-;là , que je voudrois quelles Le Tocte fuppofé y SCENE V,PERRIN, BABET, LE BAILLI. A LE BAILLI , applaudijfant. Merveille , en vérité. BABET , fenfant un cri de furprife en cachant lestablettes Jous/on tablier. AH! LE BAILLI , à Perrin qu*il voit ferrer le papierquil tenoit à la main. Eh , ce nefl que moi , ne vous dérangez pas!Il trembloic que ce ne fût Madame la iVlarquife^car je lai vu vite , vite couplet pour les Filles du Village. LE BAILLLQue îe venois chercher. voici. LE BAILLI, après avoir luiCeft cela? BABET , qui a pajfé fes tablettes à Peirln. -Ceft cela. Eh bien, Monfieur le Bailli :- Geor-eette ï... LE BAILLLBrouillée plus que jamais avec Henri, lui a dît ;devant Madame Guillaume , quelle népouferoit &naimoit que vous. BABET , avec reproche à Perrin,Ce que je vous avois prédit , Monfieur î , Mademoifelle, cela n*efl:, ni ne peut être^ BABET , avec humeur. ^Votre mariage eft arrangé. Comédie» a9 LE BAIL
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