. Les origines : questions d'apologétique . mposi-tion chimique comme des fragments enlevés à une mêmemasse primitive. Nous aurions donc mauvaise grâce à rejeter une hypothèsesi fondée en laison. Dailleurs, malgré des variantes danslès détails, elle est désormais reçue parmi les savants. (Testun point ac((uis cpic liinivers physique sest formé par lac-tion lente des lois naturelles sui- une matière primitivementdistribuée en nébuleuse chaotique. — 11 — La seconde phase, quOn peut i\\)\H\çv gtolofjifjiic. nC^I [>lus(lu domaine des hypothèses : elle est entrée dans le domainede lhistoire. Les


. Les origines : questions d'apologétique . mposi-tion chimique comme des fragments enlevés à une mêmemasse primitive. Nous aurions donc mauvaise grâce à rejeter une hypothèsesi fondée en laison. Dailleurs, malgré des variantes danslès détails, elle est désormais reçue parmi les savants. (Testun point ac((uis cpic liinivers physique sest formé par lac-tion lente des lois naturelles sui- une matière primitivementdistribuée en nébuleuse chaotique. — 11 — La seconde phase, quOn peut i\\)\H\çv gtolofjifjiic. nC^I [>lus(lu domaine des hypothèses : elle est entrée dans le domainede lhistoire. Les géologues, en elTet, ont lu le passé de laTerre dans les couches de Técorce comme dans autant defeuillets où les phénomènes anciens ont été fidèlement enre-gistrés : ces feuillets ont été interprétés à laide des phéno-mènes dont nous sommes actuellement témoins. Si lhistoiregéologique de la Terre est encore parsemée de solutionshypothétiques, ses grandes lignes sont fixes désormais Fig. 9. — Distribution des orbites planétaires autour du soleil. Ces or-bites, sensiblement circulaires, sont voisines du plan de-lé planètes accomplissent toutes leurs révolutions de louest à lest ;les satellites de même, sauf ceux dUranus et de Neptune. La troisième phase, «[uoii peut appeler la phase ésente encore bien des points obscurs. Un point cependantsemble hors de doute, cest que lhomme remonte au delà dedix à douze mille ans, cest-à-dire bien au delà de ce quonavait généralement admis jusquà présent parmi nous. Peut-on évaluer, en chiffres absolus, le nombre de sièclesécoulés depuis linstant de la création . Non : car les calcnls — 1-2 — inanquoraionl do donnée? solides ; il laiidrail partir de don-nées hypolhéliques (1). O qui est certain pourtant, cest que


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