. Apres La Pluie Le Beau Temps . our nepas craindre quon laccuse dune chose aussi ridi-cule que favoriser le vol dun bon et fidèle serviteurcomme Rame ; personne ne croira quun ange commeelle, qui a quatre-vingt mille livres de rente, qui estcharmante, qui a plus dargent quelle nen a besoin,qui a été élevée par moi, fasse la sottise de laisservoler son oncle, et si bêtement encore. 11 faut êtreimbécile comme M. Dormère pour faire une suppo-sition pareille. Vous comprenez maintenant, doc-teur, la terrible impression quelle a dû ressentir:voyez ce que vous avez à faire. M. BOURDOIV. Je vais lui


. Apres La Pluie Le Beau Temps . our nepas craindre quon laccuse dune chose aussi ridi-cule que favoriser le vol dun bon et fidèle serviteurcomme Rame ; personne ne croira quun ange commeelle, qui a quatre-vingt mille livres de rente, qui estcharmante, qui a plus dargent quelle nen a besoin,qui a été élevée par moi, fasse la sottise de laisservoler son oncle, et si bêtement encore. 11 faut êtreimbécile comme M. Dormère pour faire une suppo-sition pareille. Vous comprenez maintenant, doc-teur, la terrible impression quelle a dû ressentir:voyez ce que vous avez à faire. M. BOURDOIV. Je vais lui prescrire une potion calmante, et si cemoyen innocent ne suffit pas, je la saignerai avantdîner et vous lui mettrez des sinapismes aux pieds. » M. Bourdon écrivit son ordonnance, recom-manda quon donnât de lair, quon entretint delhumidité à la tête au moyen deau fraîche, et quonlui donnât de leau froide pour toute boisson. Rame ramena le médecin chez lui et alla prendrechez le pharmacien la potion


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