Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . sse débattre en façon quelconque; ou bien on leur fiche un clou sur le milieu de la télé, ou lon fiche une épingle pour lesfaire mourir. Au reste, ce sont les plus beaux jeûneurs du monde, car on les peut garder vivants, sans boire ni manger, troissemaines entières.» (Du Tertre, Histoire générale des Antilles, t. 11, p. 311.) (-) Le bois daloès, ou Ag


Voyageurs anciens et modernes, ou Choix des relations de voyages les plus intéressantes et les plus instructives depuis le cinquième siècle avant Jésus-Christ jusqu'au dix-neuvième siècles, avec biographies, notes et indications iconographiques . sse débattre en façon quelconque; ou bien on leur fiche un clou sur le milieu de la télé, ou lon fiche une épingle pour lesfaire mourir. Au reste, ce sont les plus beaux jeûneurs du monde, car on les peut garder vivants, sans boire ni manger, troissemaines entières.» (Du Tertre, Histoire générale des Antilles, t. 11, p. 311.) (-) Le bois daloès, ou Agallochum, na rien de commun avec laloès. «Cest, dit Cuvier, un arbre de la famille deseuphorbes, dont le bois biillc avec une odeur agréable; Colomb aura pris quelque bois odoriférant pour du bois daloès.» () Le Japon. (•) Quinsay. Hang-lchcou-fou. (Voy. la note 7 de la p. 86.) () Sans doute les îles Mucaras. C) On suppose que ce fut vis-à-vis la côte â louest de las Nuevilas del Principe. CODA. UN VILLAGE. 109 dont les feuilles servent à couvrir les huttes des habilants ; de petits oiseaux dianlaient dans le feuil-lage. Lamiral se fit conduire vers deux huttes; ceux qui les habitaient senfuirent. A lintérieur, on. <[;r^ ^^^^^•\ Le granii Lézard des Antilles (). trouva un chien qui naboya point (-), des fdets on corde et en fil de palmier, un hameçon en corne, desharpons en os. Les Indiens de Guanahani firent entendre quil fallait un voyage de vingt jours en canotpour faire le tour de lIle, et quelle était traversée par dix grands fleuves. Ils ajoutaient que lon y trou-verait îles perles et des mines dor. Les ports favorables y parurent nombreux, les fleuves profonds, lesmontagnes belles et hautes, mais non très-étendues. Lamiral donna le nom de Saint-Sauveur (San-Salvador) au fleuve ou au port où il avait dabordjeté lancre {^). Il navigua ensuite vers le couchant, passa devant un fleuve quil nomma fleuve de laLune (rio de la L


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