. Gazette des beaux-arts . uer les peintures commencées par frère Jean ». Délibérationsdont aucune autre nannonce le résultat. Six années sécoulent, et en 1/155 lon soccupe de restaurer le toit dela Chapelle neuve, pour que « la pluie ne détruise pas les figures etimages des saints peintes dans la preiiosum et notabileopus.» Puis vingt-sept ans et un peintre du nom de Pierre-Mathieu deAmeria se propose pour continuer les peintures de la Chapelle Neuve,mais la fabrique est prudente et exige quil fasse dans le haut une figuredessai ; essai qui sans doute ne fut pas heureux. Les même
. Gazette des beaux-arts . uer les peintures commencées par frère Jean ». Délibérationsdont aucune autre nannonce le résultat. Six années sécoulent, et en 1/155 lon soccupe de restaurer le toit dela Chapelle neuve, pour que « la pluie ne détruise pas les figures etimages des saints peintes dans la preiiosum et notabileopus.» Puis vingt-sept ans et un peintre du nom de Pierre-Mathieu deAmeria se propose pour continuer les peintures de la Chapelle Neuve,mais la fabrique est prudente et exige quil fasse dans le haut une figuredessai ; essai qui sans doute ne fut pas heureux. Les mêmes précautions, que nous né saurions trop louer, nétaientpas nécessaires lorsquen 1Z|89, le peintre qui soffrit fut Pierre Perugin. 1. Documenti lxxxii et lxxxhi. 2. Documenta lxxxv. Leur fut adjoint Pierre, fils de Nicolas dOrvieto (doc. LXXXVI). 3. Cette œuvre précieuse et considérable, est lœuvre dAngelico de Fiesole. Ce sontles Prophètes et la figure du Christ, peints pendant les trois mois de LE RELIQUAIRE DORVIETO. U3 Nous lisons à la date du 29 décembre de ladite année : « Nombre dan-nées sétant écoulé, à savoir quarante-quatre depuis qua été commencéde peindre la Chapelle Neuve, les échafaudages y étant encore et riennayant été continué, à la honte de la fabrique et de lé, voici quese présente un certain maître, Pierre de Pérouse, très-renommé peintredans toute lItalie, comme laltestent ses peintures du Palais apostoliqueà Rome. » Et ledit maître, ayant comparu, dit : a quil a vu la chapelle et cequil y a à y faire, et quil veut pour ses travaux et prix de sa peinturequinze cents ducats, tous frais à sa charge et engagement de peindre àpartir des corniches jusquau haut, les échafaudages, la chaux et le sablelui étant fournis. » Le lendemain, délibération et contrat- avec Pierre Perugin, pour lespeintures des voûtes de la chapelle; contrat qui ne fut point exécuté; et,le 15 janvier l/i91, il est de
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