. Dictionnaire de pomologie : contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus généralement connus et cultivés . â Forme sensiblement aplatie aux extrémités, pentagone au sommet et généralement ayant un côté beaucoup plus gros que l'autre. â Pédoncule : court ou très- court, bien nourri, inséré dans un bassin étroit et assez profond. â Åil : grand ou moyen, mi-clos ou 'fermé , bien enfoncé dans une cavité très-irré- gulière. â Peau : légère- ment rugueuse , jaune clair sur le côté de l'ombre, jaune brunâtre sur l'autre


. Dictionnaire de pomologie : contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus généralement connus et cultivés . â Forme sensiblement aplatie aux extrémités, pentagone au sommet et généralement ayant un côté beaucoup plus gros que l'autre. â Pédoncule : court ou très- court, bien nourri, inséré dans un bassin étroit et assez profond. â Åil : grand ou moyen, mi-clos ou 'fermé , bien enfoncé dans une cavité très-irré- gulière. â Peau : légère- ment rugueuse , jaune clair sur le côté de l'ombre, jaune brunâtre sur l'autre face, où elle est en outre faiblement striée de rouge orangé, maculée de brun squammeux près de l'Åil et du pédoncule, puis abondamment ponctuée de gris. â Chair : blanchâtre, fine, assez ferme. â Eau : abondante, acidulé, savoureusement sucrée et parfumée, rappelant le goût ides meilleures Reinettes. Maturité. â Novembre-Février. Qualité. â Première. nistorique. â Très-répandue en Hollande et en Allemagne, cette pomme exquise appartient à ce dernier pays, où elle est connue depuis un temps immémorial, ainsi que l'affirmait en 1799 le pomologue Diel : « La Pomâranzen « Apfel, ou Pomme Orange â disait-il â est positivement native d'Allemagne, « et voilà de nombreux siècles que nos ancêtres l'y savourent. » [Kemobstsorten, t. I, p. 239.) Elle fut exposée au concours international de Paris, en 1867, par le professeur Koch, de Rerlin; et l'année suivante, en ayant apprécié le mérite, je me la procurai à l'Institut pomologique de Reutlingen (Wurtemberg), grâce à l'obligeance du directeur de cet établissement, M. le docteur Lucas, qui le 8 mai 1872 m'écrivait, parlant de ce fruit: «On le cultive en Suisse, surtout aux environs « de Zurich, sous le nom de Breitaar; dans le Thurgau, sous celui de Breilacher; Â


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