. Pathologie et thérapeutique chirurgicales générales . peut-être même exclusive-ment due à linfection. Cependant celte dernière nest [)as prouvée pour ooG IMLAMMATIUNS AIGLKS NON TUAUMATIQLES Di:S PAKTIKS MOLLES tous les cas; aussi parmi les causes étiologiques le refroidissement figure-t-il encore sans (juon i)uissc cependant en préciser linfluence. La blcnnorrhéc (de jiXewa, mucosilé, et ^éw, couler) est un catarrhe dune intensité telle que du pus à létat pur est sécrété en grande quantité. Le catarrhe cl la hlcnnorrhée peuvent devenir chroniques. Le simple examen de muqueuses superhcielles


. Pathologie et thérapeutique chirurgicales générales . peut-être même exclusive-ment due à linfection. Cependant celte dernière nest [)as prouvée pour ooG IMLAMMATIUNS AIGLKS NON TUAUMATIQLES Di:S PAKTIKS MOLLES tous les cas; aussi parmi les causes étiologiques le refroidissement figure-t-il encore sans (juon i)uissc cependant en préciser linfluence. La blcnnorrhéc (de jiXewa, mucosilé, et ^éw, couler) est un catarrhe dune intensité telle que du pus à létat pur est sécrété en grande quantité. Le catarrhe cl la hlcnnorrhée peuvent devenir chroniques. Le simple examen de muqueuses superhcielles altuinles de catarrhe montre que ce processus peutdurer longtemps et être trèsintense, sans que pour celale tissu de la membrane soitsérieusement intéressé ; lasurface de la muqueuse restealors hyperémiée, gonflée etun peu épaissie; rarement ilen résulte des pertes superfi-cielles de lépithélium et depetites ulcérations catarrha-les; toutefois, dans des cas1 in- très rares il est vrai, il peutsensuivre une destruction. Fig. 59. — Couclic c|>illiélialo criiiif cnnjiinclivo alliiiilflammalion katarrhale. (Dapi-is lliiidflLiscU.) — firossissemcnl, 400. plus étendue. Ces faits sont établis par les recherches faites sur le cadavre et par lexa-men histologique. On croyait quà la suite du catarrhe il se produisait seu-lement une desquamation rapide des cellules epitheliales qui arrivaient àla surface comme des cellules purulentes et que les couches sous-jacentesde la muqueuse ne prenaient pas part à ce processus. Bien quon se fût elforcé souvent de déterminer la participation des couchesepitheliales profondes au processus dinflammation catarrhale des muqueu-ses, on navait cependant pas réussi, lorsque Kemak, Buhl et Hindfleischdécouvrirent dans les couches epitheliales de ces membranes de nombreusescellules migratrices et de gros éléments dans le protoplasme desquels setrouvant enfermées quelques jeunes cellules rondes. Ces cell


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