. La doctrine des moeurs : qui represente en cent tableaux la différence des passions, et enseigne la manière de parvenir à la sagesse universelle . Qui acheté les voluptez ^ repencii*. DES MOEURS. H^ EXT Lie ATION di la trente-fixiémùFigure. Baie , mafquc , brelende , yvrogne , fais lamour ; 5 ois tout aux voluptcz , & les poITede toutes r Bien-toft la pauvretc,lagrayelie,ouIes goucces*; £c mille autres douleurs cj^ui viennent à leuc tour ,Te feront par de longs fupplices yPayer à chaque heure du cruel intcreft de rcs courtes délices- E ne marrête pas à vousexpliquer les foli
. La doctrine des moeurs : qui represente en cent tableaux la différence des passions, et enseigne la manière de parvenir à la sagesse universelle . Qui acheté les voluptez ^ repencii*. DES MOEURS. H^ EXT Lie ATION di la trente-fixiémùFigure. Baie , mafquc , brelende , yvrogne , fais lamour ; 5 ois tout aux voluptcz , & les poITede toutes r Bien-toft la pauvretc,lagrayelie,ouIes goucces*; £c mille autres douleurs cj^ui viennent à leuc tour ,Te feront par de longs fupplices yPayer à chaque heure du cruel intcreft de rcs courtes délices- E ne marrête pas à vousexpliquer les folies & lesdcreglemens de ce Ta-bleau. Il faut neftre pasdu monde , pouf ne lespas connoîtrc , & poucneftre pas nerfuadé que le Bal , le jeu,le Vin & lAmour , font les plus ordi-^laiies 5c les plus délicates liaisons de U. ;î44 la doctrine ^ converOition civilifée. En cela les Coursne font point diftindes des Villes. LesBourgeois enrichiilènc fur la galanteriedes Courtifans. Ils marchent tous éga-lement aux débauches ; Et Taufteritédes anciennes Mères de Familles seftantapprivoifées par la galante communi-cation des coquettes, cefl maintenantêtre du grand Monde ^ que de voir desFilles conduites par leurs mères vaines& ridicules , en ces Marchez folemnels,où la Pudeur & lhonnêteté font prefqueaufll rarement données , que fouventelles font vendues. Mais, que ces volu-ptez ne nous corrompent pas aulîi-bienque les autres. Si nous ne fommes pasadez Magnanimes, pour aimer la Vertuà caufes delle même , au moins foyonsPïudens, Se Taimons pour Tamour denous mêmes. Voyons de quelles incom*moditez les Voîuptez font fuivies. Ap-prenons ce qui fe pafïe dans le Cabinetdes débauchez, & écoutons ce qui di-fent, ces Gueux & ces Malades, quenôtre Peintre a cachez dans le fonds deio
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