. Le Monde moderne. , comme la gentille Made-leine soulTre de cet abandon et que, ensomme, Jean laime éperdument, le comtede Marcays ouvre ses bras h sa charmanlefiancée, qui sy jette en pleurant de pleure et rit à la fois. La pièce est charmante, rem|)lie dinci-dents tour à tour gracieux, amusants etpathétiques, et excellemment jouée par unetroupe homogène, à la tête de laquelle setrouvent MM. Noblet el Deval, deux vieuxroutiers coutnmiers des victoires, cl decharmantes artistes comme M LucyGérard, Blanche Toulain et Louise Bignon. M A uni CE Lf. LA MUSIQUE TlllCATllE IIE
. Le Monde moderne. , comme la gentille Made-leine soulTre de cet abandon et que, ensomme, Jean laime éperdument, le comtede Marcays ouvre ses bras h sa charmanlefiancée, qui sy jette en pleurant de pleure et rit à la fois. La pièce est charmante, rem|)lie dinci-dents tour à tour gracieux, amusants etpathétiques, et excellemment jouée par unetroupe homogène, à la tête de laquelle setrouvent MM. Noblet el Deval, deux vieuxroutiers coutnmiers des victoires, cl decharmantes artistes comme M LucyGérard, Blanche Toulain et Louise Bignon. M A uni CE Lf. LA MUSIQUE TlllCATllE IIE iïllÉATHE — Là ISoliéme, comédie lyrique en(|uatie actes, tirée du roman dHenri ènes de la Vie de Bohème, paroles et mu-sique de M. li. Léoncavallo, traductionfrançaise de M. Eugène premier acle, nous sommes ;ui cafcMomus. Cest en 1837,1a nuit du ré(M. Soulacroixj, qui vienl de seprésenter ainsi à Musette iM Théveiut i,. l)anquette avec ses amis Marcel (M. Lc-prestre), Rodolphe M. Ghasne) et Colline(M. Bourgeois . Mimi (M Frandaz selaisse courtiser par Rodolphe, et Musette,vrai lioule-en-trnin de In fête, chante : Le repas sachèverait gaiement, si ladouloureuse nétait présentée avec insis-tance par maître Gaudens. Pas un sou !Que faire?... Et ici se retrouve le joli épi-sode du précepteur qui, pour être admisdans la société des bohèmes, consent àperdre au billard la somme nécessairepour solder ce joyeux repas. Au deuxième acte. Musette, saisie etmise à la porte par son propriétaire, at-tend, dans la cour de limmeuble quelleliabite, ses nombreux invités. Schaunardexécute avec fracas sa symphonie de lin-fluence du bleu sur les arts, et finalementaccompagne lhymne de la Bohème.
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