. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. 162 LAMBERT. â OBSERVATIONS SUR QUELQUES HEMICIBARIS 18 nOV. avec une plaque suranale à 'Acrosalenia (1). Mais cette manière de voir, née de l'ignorance où l'on était des véritables caractères des assules du système anal, doit être abandonnée. En. effet, ce qui caractérise les plaques de ce système, c'est d'abord, comme je l'ai dit, dans une précédente étude, leur position dans le cadre irré- gulièrement circulaire du périprocte (2) et aussi leur mobilité, puisque les plaquettes adhérentes à la membrane anale sont co
. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. 162 LAMBERT. â OBSERVATIONS SUR QUELQUES HEMICIBARIS 18 nOV. avec une plaque suranale à 'Acrosalenia (1). Mais cette manière de voir, née de l'ignorance où l'on était des véritables caractères des assules du système anal, doit être abandonnée. En. effet, ce qui caractérise les plaques de ce système, c'est d'abord, comme je l'ai dit, dans une précédente étude, leur position dans le cadre irré- gulièrement circulaire du périprocte (2) et aussi leur mobilité, puisque les plaquettes adhérentes à la membrane anale sont comme elle soumises aux contractions de l'orifice déférent et jouent néces- sairement sur les bords fixes du périprocte. Ce jeu s'opère chez les Hemicidaris suivant les surfaces d'insertion des assules anales sur les costales voisines qui semblent présenter de véritables surfaces articulaires, et, sur chacune des impressions signalées par M. Cotteau, s'emboite une assule du système anal. Dans mon échantillon une seule assule anale est restée adhérente à la fossette creusée entre les costales 2 et 3 ; mais entre les costales 1 et 2 on voit une fossette semblable sur laquelle devait venir également s'insérer une assule anale; la costale 1 contient une seconde fossette ; l'ocellaire I en présente une autre ; on en remarque deux sur le bord de la costale impaire et enfin une autre, assez nette, entre les costales 3 et 4. Sur chacune de ces fossettes venait évidem- ment s'articuler une plaquette anale, et leur réunion devait former une sorte de couronne à l'orifice qui s'ouvrait près de leur centre. Aucun doute ne peut d'ailleurs exister à ce sujet, puisqu'en con- sidérant l'apex d'un H. langrunensis sans plaque anale subsistante, on voit, à la place qu'occupe celle-ci, la fossette dans laquelle s'est insérée la plaque anale restée sur mon échantillon. L'examen du
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