. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans. éfons, dit-il, du^^ efprit libre ,Dune main circonrpe-:5le ; & vive léquité ,Ça ; celle-ci me paroit déjà trop pilante,îi en mange un morceau. Lautre péie à Ton tour;Nouveau morceau mangé par raifon du plus deibafîms \\à plus quune légère ^^iQ^iit. {a.] à.C;. fj# ffuTRiS »2 M. DE LA Ufyflt, Bon! nous voilà contens, donnez, difent les ChatîS»Si vous êtes contens ; Juftice ne left pas, Leur dit Bertrand > race ignoranteCroyez-vous donc quon fe contenteDe pafTer comme vous leschofes au gros fas?Et ce difant > Monfeigneur fe


. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans. éfons, dit-il, du^^ efprit libre ,Dune main circonrpe-:5le ; & vive léquité ,Ça ; celle-ci me paroit déjà trop pilante,îi en mange un morceau. Lautre péie à Ton tour;Nouveau morceau mangé par raifon du plus deibafîms \\à plus quune légère ^^iQ^iit. {a.] à.C;. fj# ffuTRiS »2 M. DE LA Ufyflt, Bon! nous voilà contens, donnez, difent les ChatîS»Si vous êtes contens ; Juftice ne left pas, Leur dit Bertrand > race ignoranteCroyez-vous donc quon fe contenteDe pafTer comme vous leschofes au gros fas?Et ce difant > Monfeigneur fe tourmenteA manger toujours lexcédent ;Par équité toujours donne fon coup de dent ;De iGfupule en fcrupule avançoit le Plaideurs enfin las des frais ,Veulent le refte fans partage.^Tout beau, leur dit Bertrandifoycz hors de procès ^Mais le refte , Meffieurs , mappartient comme é nous autres auffi nous nous devons en paix; & rendez grâce aux Dieux»Le £^Ui neût pas jugé ÊiVreII. 131 r E C L I P S E. FABLE XII. D * E nos récits chaiïbns Temphafè ;LailFons le flile ambitieuxA ces Chantres hardis quembrafeïl*ardeur de célébrer les Héros & les > Chantre dAnimaux & fîmple FabulÏKe,Je dois conter naïvement,Suivre toujours la Nature à la le fçavons ^ceft notre rudiment ;Mais prenons garde à la bafleiTeTrop voifîne du un Auteur fansadrefleVeut être iîmple ; il eft de tour trivial, aucune image baiïe ;Apollon veut expreffémentQue lon foit ruftique avec grâ populaire élé neft pas aile. Jen conviens ; mais quy faireDit le Leâeur. Ce neft pas mon affaire :Surmontez la diiïiculté.Quand votre ouvrage fçait me plairj,ne calcule point ce quil vous a coûté :Mais je vous loue ; & ce falaireMérite bien d*étrô achsié. 152 (EUVKES DE M. DE LA MoTTÊ ^ Vous parlez de bons fens, cher Ledeur, & jadopte Ce folide


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