Les comédiens français dans les cours d'Allemagne au XVIIIe siècle . er vanta lebonheur des habitants de Rheinsberg qui voyaient au milieu deuxlhéritier de la Grande Catherine, puis il ordonnaà lHymen et à lAmourde joncher de fleurs la vie de ce Prince, à Apollon de le distraire par uncéleste concert, et à Thalie de légayer. Phébus et la Muse comiquechantèrent alors dadmirables aries pour exhorter le Dieu de lHarmonieet les Jeux à bien suivre les instructions de Jupiter. LHymen et lAmourdansèrent ensuite un/jas de deux; Euphrosine, la plus belle des Grâces,se joignit à eux et dans un pas de tr
Les comédiens français dans les cours d'Allemagne au XVIIIe siècle . er vanta lebonheur des habitants de Rheinsberg qui voyaient au milieu deuxlhéritier de la Grande Catherine, puis il ordonnaà lHymen et à lAmourde joncher de fleurs la vie de ce Prince, à Apollon de le distraire par uncéleste concert, et à Thalie de légayer. Phébus et la Muse comiquechantèrent alors dadmirables aries pour exhorter le Dieu de lHarmonieet les Jeux à bien suivre les instructions de Jupiter. LHymen et lAmourdansèrent ensuite un/jas de deux; Euphrosine, la plus belle des Grâces,se joignit à eux et dans un pas de trois les enchaîna de guirlandes et derubans. On vit enfin sélever un obélisque où brillait le chiffre du les Grâces couronnèrent de fleurs ce monument, tandis quele chœur répétait : Chantons, dansons, et que ces bords heureux Retentissent de mille vœux Et pour Paul et Catharine ! » (47). Le jour suivant (7 août), on représenta le Déserteur de Sedaineet Monsigny avec un ballet intitulé : Le Bouquetp?^is et repris (48). 16. AINVILLE iCIi;HiaM(:>5i;y\J .-jj, i_ek-un, après avoir joue— à Rheinsberg. Nous ignorons ma4-interpréta !e céèbre tragédien. .,..., ., . ..^.^.. tarent donnés lors Russie et sa fiancée Sophie de Wiirtem- es reçurent le Grand- i haiie viVi- Toussaint) se rendit au- îLj.^f j ijineriale pour lui souhaiter la bienvenue ; M® Fleurv tenait le rôe, chanta une ariette que *u théà Cavalierhaus cëdée d un a-propos en lhonneur du Le dccor de eu i-roiOj^uc, lisoas-nous dans une relation, représentait•une riante campagne où ?s T^lai^î-; ce rfiouissaiènt en chantant et endansant. Lun deux pr a présence leur joie plus complète. On ent; ~ najestue. t la- quelle le maître d. Divine- -in un nuage issant d* bonheur diis r .ruants de i;einsr:er^ .^ui voyaieni au r:lhéritier de !a Grande Catherine, puis il ordonna à rHvm?rde jonche e Prince dire par un céleste 1^; ... ^^, iviuse
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