Les vrais pourtraits et vies des hommes illustres grecz, latins et payens . omachie, la corne dAbondance, lAnterotique^: au-tres ceuures,qui font parties du Cabinet de ce du Bellay, ont en facevn tel lu lire, que, fans trop grade mcf-cognoiffancc, ne fçauroit-onfaire quon ne prifc celuy qui leur à donc eflre 6<C \cs à chafTé iulquesa leur accompliffement. ANTHOINE De IIII. 401 ANTHOINE DE BOVRGONGNE,DICT LE GRAND: Chaf, yp. ^L fembloit,que nous deuffions nous contan-ter dauoir dcfia bronché lesdifcours des viesde PhilippeSjdiâ: le bonDuc de Bourgoigne,& de Charles Ton fils
Les vrais pourtraits et vies des hommes illustres grecz, latins et payens . omachie, la corne dAbondance, lAnterotique^: au-tres ceuures,qui font parties du Cabinet de ce du Bellay, ont en facevn tel lu lire, que, fans trop grade mcf-cognoiffancc, ne fçauroit-onfaire quon ne prifc celuy qui leur à donc eflre 6<C \cs à chafTé iulquesa leur accompliffement. ANTHOINE De IIII. 401 ANTHOINE DE BOVRGONGNE,DICT LE GRAND: Chaf, yp. ^L fembloit,que nous deuffions nous contan-ter dauoir dcfia bronché lesdifcours des viesde PhilippeSjdiâ: le bonDuc de Bourgoigne,& de Charles Ton filsrmais comment culïionsnous peu paflcr outre fans le reueiller du tom-I beau,puis quil attouchoit &: à lvn & à lautre,tant pour le lien de nature, qui les allioitparenfemble , quepourlavaleureufe magnani- Enfansdemitéjdont il eftoit tellement aflorty, quil feft trouué faify, veftu 6c PhiUppes,poiTefleur du titre de grand , &afin quen peu de paroles ie die ce, ^^^^^o»*que ieftime appartenir à cefte Hiftoire,le bon Duc Philippes,outre BoL-o-Lm YYy ^. yies des hommes Illuftres Charles, Antoy ne bc Iode Tes en fans légitimes, pro créés du mariagedYiabel, fille du Roy de Portugal, eut encores trois baftardsôc vnefille naturelle, mariée au Seigneur de Rauafiin,frère du Duc de , quifutEuefque deThe-rolienne,aprèsEuefque duTrcth. Lautre fut Baudouin , auquelnous ferons part des loUangcs,quicy nous donnons à fon frère, dau-tantque tous deux firent ligue, pour faire paroiflre leur genereufeproiieile. Onfçaitquel deuoirlvnôc lautre firent au voyage quilsfirent contre linfidèle , quifurtouslesCroifés redoutoit ces deuxfoudres Boureuiîrnotes. Les Hiftoires fur ce dreffées me releuerontdeiapeine,qucnceme faudroit employer,qui nous tefmoignent,quils retournèrent auec fort bonne compaignie en Bourgoigne:Mais à Marfcille la pefle grtfla fi rudemét fur leurs troupes, quà pei-, neladixi
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