. Dans le Haute-Gambie; voyage d'exploration scientifique, 1891-1892. Gambia; Geology; Botany. DANS LA llAUTK-tiAMtilK :i7:i tnp|H>cs. Tout le Uioiutr .1 enUMidu plii> ou inouïs iilol»s ». L'u|K^rutiuii preiiiit'n* el 8on vt^ritabh* Itut rLiiKiit di* sertioiiiicr rottu piirtic i*st prati(|iift' aiijouitriiui, elle consiste doue à supprimer toute la partie des petites lèvres qui dépass,» les grandes i-t à fain^ l'.ildatioii rompi^l»' ou pai tiellf du tlitoris. Voiei roniiiient rcla se Ui patiente est rleudiie sur le *]os, les jaiiiltus lltM-liies sur les cuisses
. Dans le Haute-Gambie; voyage d'exploration scientifique, 1891-1892. Gambia; Geology; Botany. DANS LA llAUTK-tiAMtilK :i7:i tnp|H>cs. Tout le Uioiutr .1 enUMidu plii> ou inouïs iilol»s ». L'u|K^rutiuii preiiiit'n* el 8on vt^ritabh* Itut rLiiKiit di* sertioiiiicr rottu piirtic i*st prati(|iift' aiijouitriiui, elle consiste doue à supprimer toute la partie des petites lèvres qui dépass,» les grandes i-t à fain^ l'.ildatioii rompi^l»' ou pai tiellf du tlitoris. Voiei roniiiient rcla se Ui patiente est rleudiie sur le *]os, les jaiiiltus lltM-liies sur les cuisses et les cuisses relevées ol perpendiculaires à l'axe du corps. Un hillot, u'éiitTaleiiimt un pilon .1 cous(*ouss, est placé sous le sacrum pour faire forlciiieiil saillir le puiiis. Os pn-paratifs ache- vés, l'opérateur, qui est toujours une femme de forf^eron. procnle à l'opération à l'aide d'un petit couteau à lame très mince, très étroite et l>ien aiguisée, l/opératioii est avec si peu de soins que le clitoris ol toujours sfrlituiiir eu partie ou en totalilf. (ilicz les Bamharas, c'est une ciunlition sinrifiti} utm d*- liniinr opcraiion. Ils sont irnlius de cette idée que si elle n'était |ias ainsi pratiquée ils mourraient inévitaldement. ,\ussi ne verra l on jamais un Hamliara épouser une ()u:)love parce que, disent-ils 1 la (hiolove a » un dard qui, s'il les |>i(iuait au Neutre, les ferait infaillilih-iiitiil » mourir >> I.«'S filles ou femmes (pli viennent tl'èlre opi-rees muiI Miumises aux uiénies jtiMliques qm- les garçons jusqu'à ce qu'idles soient guéries. Par exemple, elles ne sortent que deux fois par jour, le matin et le soir, pour se l>ai;,'ner. Elles sont surveillées par les matrones et tloiveul dormir étendues sur le dos. Ie> jambes iéf^ère- ment écartées. La circoniMsiou, aussi bien pour les femmes que pour les hom- mes, se prati(|
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