. Gazette des beaux-arts . orgeait point ses compositions dun seuljet. Autant, sinon plus que dautres maîtres, il avait recours à des études. U aemprunté à lantique, sest inspiré aussi des œuvres de ses devanciers ; nombre de foisil a pris aux Italiens. Dans plus dun de ses tableaux, nous voyons reparaître desfigures utilisées précédemment par lui-même. M. Rooses a touché à cette circons-tance. Il y aurait grand profit pour nous à être renseignés complètement sur limpor-tance et la source de ces emprunts. Lauteur est dautant mieux à même de nousdonner satisfaction sur ce point quil renvoie à s
. Gazette des beaux-arts . orgeait point ses compositions dun seuljet. Autant, sinon plus que dautres maîtres, il avait recours à des études. U aemprunté à lantique, sest inspiré aussi des œuvres de ses devanciers ; nombre de foisil a pris aux Italiens. Dans plus dun de ses tableaux, nous voyons reparaître desfigures utilisées précédemment par lui-même. M. Rooses a touché à cette circons-tance. Il y aurait grand profit pour nous à être renseignés complètement sur limpor-tance et la source de ces emprunts. Lauteur est dautant mieux à même de nousdonner satisfaction sur ce point quil renvoie à ses études dessinées dont il a relevélexistence dans les collections. Jadis on ne sattachait guère aux démonstrations de lespèce. La critique modernevise plus haut. Rien ne lui coûte pour remonter à la source même des idées, etRubens, au premier abord le plus désordonné des maîtres, envisagé à ce point de vuenouveau, nous apparaîtra peut-être comme méthodique entre tous. HENRI Lo ltéductuur on ohof, gùrant : LOUIS GONSE. I M I*. CH A II Al HE ET VILS.
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