. L'impératrice Élisabeth, épouse d'Alexandre 1er . conde moitié de la journée, car jepas, je ne peux p^*^ ^ r», A vjant tant dannées sans ...nan chérie, adieu pourm ni II s, je les presse contre bien prier de me laissne sais pas, je ne veux n 2l persisté dans is Nicolas, il t: m vivant, adore, ... il y avait de ces c métier de hâbleur, de leur corps c r rw^s laisse baise vos chère > i^ / J. Mn liî. dire; que je me si Je sais seulemeui quapi avec peineour de postril» cest iNocj, et que je dirai un toutdernier adieu aux restes a^. ^-m que je ne cherche plus quau le 26 quil s
. L'impératrice Élisabeth, épouse d'Alexandre 1er . conde moitié de la journée, car jepas, je ne peux p^*^ ^ r», A vjant tant dannées sans ...nan chérie, adieu pourm ni II s, je les presse contre bien prier de me laissne sais pas, je ne veux n 2l persisté dans is Nicolas, il t: m vivant, adore, ... il y avait de ces c métier de hâbleur, de leur corps c r rw^s laisse baise vos chère > i^ / J. Mn liî. dire; que je me si Je sais seulemeui quapi avec peineour de postril» cest iNocj, et que je dirai un toutdernier adieu aux restes a^. ^-m que je ne cherche plus quau le 26 quil sera emmené. Pour moi. ic reste, comme je lai écritlautre jour, et tous les jours je compî comment je ferai pour quitter lison, > il faisait un froia ir, je nai donc pa^ - s-je y ill-^r tout à ? ; que de coutume is quitte, cher» ;Tiy pré CO g ^ « 3 Q Si s ^ ) O •C5CI •î? «j >* ^( Lq Q <M ~ <;^ <3 X ?<*J S<i C? <3 « !^ c ^ s^ V ^ « §^ ÏS •^ On « 5= 4^ •^ I es ^^> Jeudi 24 Décembre/5 Janvier, à 10 heures du matin. Je viens de recevoir, chère et bonne Maman, votre lettre du28 Novembre/10 Décembre. Vous ne vous doutez de rien! Et ce calmeavec lequel vous répondez à tous les détails insignifiants de ma paisibleexistence dautrefois! Il me fait souffrir pour vous, ma bien-aiméeMaman, plus que pour moi. Tout a fini si vite, si subitement! Quelque-fois je le vois devant moi en parfaite santé, dans telles ou tellescirconstances, tel ou tel moment, je vois tous ses mouvements, jen-tends sa voix: il me semble alors que je suis endormie, que je nepeux pas sortir dun rêve pénible; je voudrais crier et me réveiller,car ma douleur alors me paraît un songe. Cest presque plus cruelque de me le rappeler malade! Pen
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