. comptesrendusheb76acad. es naturelles. ( 39c= ) â¢Â» Telle est la circulation souleiraine de l'hydrogène de la chroraosphère, car c'est en partie d'hydrogène froid, puisé à cette source, que les tourbil- lons, sont remplis. Quant aux dimensions, les voici : l'épaisseur de la chro- mosphère, de CP à AB, est au plus de i rayon terrestre ; la partie du cône tournant garnie de pénombre descend jusqu'en ab, à | rayoti en moyenne. La partie plus étroite a' b' du tourbillon va plus loin, à une profondeur double ou triple peut-être au-dessous de AB. L'orifice inférieur descend beaucoup pl
. comptesrendusheb76acad. es naturelles. ( 39c= ) â¢Â» Telle est la circulation souleiraine de l'hydrogène de la chroraosphère, car c'est en partie d'hydrogène froid, puisé à cette source, que les tourbil- lons, sont remplis. Quant aux dimensions, les voici : l'épaisseur de la chro- mosphère, de CP à AB, est au plus de i rayon terrestre ; la partie du cône tournant garnie de pénombre descend jusqu'en ab, à | rayoti en moyenne. La partie plus étroite a' b' du tourbillon va plus loin, à une profondeur double ou triple peut-être au-dessous de AB. L'orifice inférieur descend beaucoup plus bas. Ces énormes tourbillons solaires, qu'aucun obstacle solide ne limite, dont le diamètre au noyau ab est souvent de 3 à 4 rayons terrestres, parfoisde lo ou 11, et dont la pointe extrême descend à une pro- fondeur énorme, traversent ainsi des couches dont la vitesse augmente peu à peu, ainsi que la température (i).. » hd/ig. 3 représente le disque solaire avec son équateur EO. Les flèches parallèles à EO indiquent en grandeur et en direction les vitesses super- ficielles de la photosphère. Deux taches, l'une au nord, l'autre au sud, animées sur les bords d'une lente gyration, tournent sur leur centre dans deux sens en apparence opposés : c'est celui de la rotation solaire. Cette gyration, constatée depuis longtemps dans un certain nombre de taches, est due à l'inégale vitesse des parallèles, et son sens est parfaitement déter- soit aspirée par la trombe et s'élève dans son intérieur : c'est, au contraire, l'air que la trombe entraîne vers le bas qui s'échappe par l'orifice inférieur et remonte latéralement à la surface en bouillonnant. (i) Les figures ne donnent pas du tout une idée juste de cette profondeur. Quant au dia- mètre supérieur AB, je viens de mesurer celui de la tache citée plus loin du 22 sep- tembre 1870, laquelle n'avait rien de bien ex
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