. De l'électrisation localisée et de son application a la pathologie et a la thérapeutique. sances, trouverune théorie i)liysique satisfaisante des propriétés physiologiquesdillérentielles des courants de la première et de la deuxième hé-lice, que lon veuille bien se contenter, pour le moment, desfaits électro-physiologiques incontestables qui seuls pourront la con-stituer. courant électrique a moins de tension quau pôle positif, et conséqucmraenl quelaction physiologique, plus puissante au pôle négatif, ne peut être attribuée àsa plus grande tension. Enfin M. le vicomte Dumoncel vient de donn


. De l'électrisation localisée et de son application a la pathologie et a la thérapeutique. sances, trouverune théorie i)liysique satisfaisante des propriétés physiologiquesdillérentielles des courants de la première et de la deuxième hé-lice, que lon veuille bien se contenter, pour le moment, desfaits électro-physiologiques incontestables qui seuls pourront la con-stituer. courant électrique a moins de tension quau pôle positif, et conséqucmraenl quelaction physiologique, plus puissante au pôle négatif, ne peut être attribuée àsa plus grande tension. Enfin M. le vicomte Dumoncel vient de donner un nouvel appui à lopinion queje défends, dans un travail quil a adressé en 1859 à lAcadémie des sciences. Ila démontré expérimentalement que la puissance physiologique dun courant din-duction nest pas toujours due à sa tension. Lexpérience doù ressort ce fait im-portant est exposé dans la note suivante, que cet ingénieux et savant pliysicien aeu lobligeance de me communiquer. « On arrive, dit-il, à conclure de cette expérience, qui est certainement la. FiG. I. plus curieuse quon puisse faire avec linstrument précédent (voyez Dg.| 1), quela tension nest pas la seule cause de lénergie (sous le rapport des réactions phy-siologiques) que les courants induits peuvent avoir par eux-mêmes, et que leseffets différents que M. Duchenne a remarqués entre les courants secondaires etles extra-courants peuvent bien ne pas tenir seulement à leur différence de ten-sion, ce que M. Duchenne cherche à démontrer depuis plusieurs années. » Jai démontré au moyen de lappareil représenté ci-dessus (fig. i), et qui secompose de deux électro-aimants droits munis de deux bobines dinduction B et Dà leurs extrémités polaires, que quand les deux armatures EF et GH sont abais-sées sur les pôles de ces aimants, les courants induits excités par la fermetureet louverture du courant inducteur à travers les bobines A et C, quoique étant DUCHENNE. 3


Size: 1904px × 1312px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1860, booksubjectmuscles, bookyear1861