. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. 4io CHARLES JACOB i5 Mai. en côtes plus ou moins nettement fasciculées vers l'ombilic par deux ou trois à des tubercules ; sur les flancs, elles s'inclinent vers l'avant en gagnant le bord externe et, s'accentuant toujours davantage, elles traversent la région siphonale en formant un che- vron très net. Le bord ventral est marqué par des côtes égales, très accentuées, au nombre d'environ 45 à 5o par tour. Cette ornementation vigoureuse se montre déjà au diamètre de 20 mm., le plus faible que nous connaissions dans l'espèce.


. Bulletin de la Société géologique de France. Geology. 4io CHARLES JACOB i5 Mai. en côtes plus ou moins nettement fasciculées vers l'ombilic par deux ou trois à des tubercules ; sur les flancs, elles s'inclinent vers l'avant en gagnant le bord externe et, s'accentuant toujours davantage, elles traversent la région siphonale en formant un che- vron très net. Le bord ventral est marqué par des côtes égales, très accentuées, au nombre d'environ 45 à 5o par tour. Cette ornementation vigoureuse se montre déjà au diamètre de 20 mm., le plus faible que nous connaissions dans l'espèce. A ce stade le tour est plus épais ; il a toujours des côtés fortement accentuées ; on n'en compte plus qu'une trentaine par tour. La cloison, figurée ci-contre, a tous les caractères du genre Parahoplites, le premier lobe latéral très élargi, à terminaison peu régulière, entouré de deux selles massives et arrondies ; le lobe externe est un peu plus court que le premier lobe latéral. Rapports et différences. â Cette nouvelle espèce se rapproche par son ovnemQnloXionà eV Hoplites Ã)Janneli Parent ', mais la section de la spire est très différente dans cette Ammonite, où le bord siphonal est assez mince et la forme plus aplatie ; de plus les côtes sont ici franchement flexueuses et non simplement infléchies vers l'avant comme dans Parah. GrossouQrei nov. sp. Par l'ornementation également, P. Grossouprei rappelle Sonne- ratla Datemplei d'Orb. sp, ; la première espèce a cependant les côtes plus nombreuses et moins épaisses que Sonn. Datemplei ; la section du tour a un bord ventral plus épais que dans l'espèce de d'Orbigny. Mais la vraie différence réside dans la cloison de P. Grossoiwrel qui ne ressemble nvdlement à celle de Sonn. Datemplei, si l'on en juge par la figure donnée par M. Sarasin % bien dessinée et correspondant tout à fait à celle d'é


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