. Bulletin de la Société zoologique de France. Zoology. J, Fig. IV. â 1 et 2, Cochliopodium bilimbosum Auerbach. â 1, x 1000, AmÅbien à l'état végétatif montrant un protocaryon et .sa coque mince et souple; 2, x 1500, stade de la plaque (ou plus exactement de la couronne) équatoriale; la division nucléaire est ici une panmitose (toute la chromatine du noyau est employée à la constitution de la plaque équatoriale); remarquer l'absence de centrioles ainsi que le peu de convergence des extrémités distales des fibres fusoriales, celles-ci étant presque parallèles (ce dernier caractèr


. Bulletin de la Société zoologique de France. Zoology. J, Fig. IV. â 1 et 2, Cochliopodium bilimbosum Auerbach. â 1, x 1000, AmÅbien à l'état végétatif montrant un protocaryon et .sa coque mince et souple; 2, x 1500, stade de la plaque (ou plus exactement de la couronne) équatoriale; la division nucléaire est ici une panmitose (toute la chromatine du noyau est employée à la constitution de la plaque équatoriale); remarquer l'absence de centrioles ainsi que le peu de convergence des extrémités distales des fibres fusoriales, celles-ci étant presque parallèles (ce dernier caractère n'a pas du reste une grande importance). équatoriale nette (On pourra appeler protomitose cette variété simplifiée de la promitose, où la plaque équatoriale est très diffuse) (2). Exemples : S. pedata Dangeard, S. (AmÅba) diploidca Hartmann et Nà gler. (1) C'est à ce genre qu'on devra rapporter la plus grosse des deux Amibes pathogènes (??) étudiées récemment par Liston et Martin (1911). En effet, une plaque équatoriale très nette et un fuseau à striation longitudinale se constituent à la division sans qu'on observe des corps polaires ni même des centrioles aux deux pôles aigus du fuseau. Martin (1911) nie catégoriquement l'existence des centrioles dans cette Amibe (« the large AmÅba from liver-abscesses »); voici ce que dit l'auteur à .ce sujet : « In conclusion, I should like to point out that at no stage in this division can I find any évidence for the existence of a centriol » (p. 281). (2) On distinguera facilement des Sappinia VAmÅba binucleata Gruber dont la division nucléaire, qui n'a rien à voir avec la promitose, a été bien étudiée par Schaudinn (1895). Doflein (1911) place cette forme dans le genre Pelomyxa, ce qui est tout à fait artificiel. La mitose de l'A. binucleata rappelle très bien celle des Hartmannia, et cette forme portera le nom de


Size: 1469px × 1702px
Photo credit: © Library Book Collection / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1900, bookdecade1910, booksubjectzoology, bookyear1912