L'estampe satirique et la caricature en France au 18e siècle; préfde Maurice Tourneux . uins, doii sortentgnées les jtensions du Hé-,giment, et deux singes, cequi dénote linnocence etla simplicité. Cest de celte institu-tion que plusieurs recueilssatiriques paraissent avoirtiré leur nom. (lest de làque viennent les calo-tines ». Parmi les recueilsde charges qui parurentà ce moment, plusieuissont cités dans le cata-logue de la vente deVèzc. Telles sont lespièces dAmbroise Crozatdaprès Antoine Rivalz,avec quelques lignes enmarge, dune écriture an-cienne, peut-être de lundes artistes : Hontes qui
L'estampe satirique et la caricature en France au 18e siècle; préfde Maurice Tourneux . uins, doii sortentgnées les jtensions du Hé-,giment, et deux singes, cequi dénote linnocence etla simplicité. Cest de celte institu-tion que plusieurs recueilssatiriques paraissent avoirtiré leur nom. (lest de làque viennent les calo-tines ». Parmi les recueilsde charges qui parurentà ce moment, plusieuissont cités dans le cata-logue de la vente deVèzc. Telles sont lespièces dAmbroise Crozatdaprès Antoine Rivalz,avec quelques lignes enmarge, dune écriture an-cienne, peut-être de lundes artistes : Hontes quise sont randus imortellepar leurs opositioii à létabliscmt de lacadéiny de peinture. Celui/ quiest peint avec une teste de eliochon est M. Cartier; celuij qui porte lesorreille de Midas, M. Martin Ponce; celui/ qui a la ijrnnile /leruqueet peint en envie, M. de Bastinil. Tmis ces ijrands hommes était rupi-toul ensemble en 172() ou H-Jl. Une autre série de charges non moins importantes lst celle delingénieur Jean-Alexandre Chevalier, qui vivait à Paris de 17G9 à. lORTK AIT-C H ARiK daYMON l GRAVURE DK daPBKS CH. c O Y P i: L Cahinet mars );;>, il» 104. 110. \M. ,?•,4 LESTAMPE SATIRIQUE 1772 et dont l»; baron do Vèze possi-dail trois suites : Noiin-tm iii/iirrfie charges à leau-forte (chez Niquet, 6 j)!., 1770); Scaiiid ca/iier îlecharges à Vcau-fnrle (chez Niciuct, 1770); Quatrième rallier decliarqes à leau-foile (chez Niquet, 1771). Il serait intéressant desavoir ce que sont devenus ces recueils et de retrouver toute la arriverait peut-être, en rassemblant beaucoup de ces cahiersdispersés ou disparus, à rencontrer (jnelque ancêtre et précurseur(leDaumier, comme ce .loseph-Frainiois loulquierde Toulouse
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