. La Henriade : divers autres poemes, et toutes les piéces relatives à l'épopée. eu, fur fa fin, fur fa caufe première,Lhomme eft-il fans fecours à Terreur attaché ?Quoi ! îe monde eft vifibîe , 8c Dieu ferait caché !|£ Quoi : le plus grand befoin que jaie en ma misère,Eft îe feul quen effet je ne peux fatisfaire îNon : le Dieu qui ma fait, ne ma point fait en vain,Sur le front des mortels il mit fon fceau ne puis ignorer ce quordonna mon maître ;Il ma donné fa loi, puifquil ma donné lê doute il a parlé, mais ceft à na point de lEgypte habité les dé, D


. La Henriade : divers autres poemes, et toutes les piéces relatives à l'épopée. eu, fur fa fin, fur fa caufe première,Lhomme eft-il fans fecours à Terreur attaché ?Quoi ! îe monde eft vifibîe , 8c Dieu ferait caché !|£ Quoi : le plus grand befoin que jaie en ma misère,Eft îe feul quen effet je ne peux fatisfaire îNon : le Dieu qui ma fait, ne ma point fait en vain,Sur le front des mortels il mit fon fceau ne puis ignorer ce quordonna mon maître ;Il ma donné fa loi, puifquil ma donné lê doute il a parlé, mais ceft à na point de lEgypte habité les dé, Delos, Ammon, ne font pas fes afyî ne fe cacha point aux antres de morale uniforme en tout tems, en tout lieu,A des fiècles fans fin parle au nom de ce loi deTrajan, de Socrate, & la vô ce culte éternel la nature eir lapôtre;Le bon fens la reçoit, & ies remords vengeurs,Nés de la confcience , en font les défenfeurs;La Eenriade. C c - I && è^ç^r—*=?—** ~~T7r-&/tl&Z*?rr* m ti fZ. ïf 401. 4rf*_ POEME SUR Leur redoutable voix partout fe fait entendre. Penfez-vous en effet que ce jeune Alexandre,Audi vaillant que vous, mais bien moins modéré,Tient du fang dun ami trop inconfidéré,Ait pour fe repentir confuîté des augures?Ils auraient dans leurs eaux lavé fes mains impures;Ils auraient à prix dor abfous bientôt le eux, de la nature il écouta la loi ;Honteux, défefpéré dun moment de furie,Il fe jugea lui-même indigne de la loi fouveraine, à la Chine , au japon,Infpira Zoroafîre, illumina Dun bout du monde à lautre elle parle, elle crie,2] Adore un Dieuy fois jufie , & chéris ta patrie*y; Ainfi le froid Lappon crut un être éternel ;i II eut de la juflice un inflincl: naturel ; Et le Nègre vendu fur un lointain rivage,Dans les Nègres encor aima fa noire un parricide , un calomniateur,Na dit tranquillement dans le fond de fon cœur:» Quil efr beau , quil


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