L'urologie et les médecins urologues dans la médecine ancienne : Gilles de Corbeil ; sa vie, ses oeuvres, son poème des urine . oguistes de laVille de Rouen, sémut et recourut à lautorité du lieutenantgénéral de police du baillage de Rouen pour être autorisée àfaire faire des perquisitions chez le sieur Lermerot, ainsi que chezdautres charlatans : Cerné, Leporc, frère Sébastien, carme de laVille, Janson, soi-disant chirurgien, et faire saisir les remèdes ytrouvés. Quadvint-il des poursuites exercées contre ces derniers? Nousnen savons rien, nayant pu retouver aucune pièce faisant allu-sion à e
L'urologie et les médecins urologues dans la médecine ancienne : Gilles de Corbeil ; sa vie, ses oeuvres, son poème des urine . oguistes de laVille de Rouen, sémut et recourut à lautorité du lieutenantgénéral de police du baillage de Rouen pour être autorisée àfaire faire des perquisitions chez le sieur Lermerot, ainsi que chezdautres charlatans : Cerné, Leporc, frère Sébastien, carme de laVille, Janson, soi-disant chirurgien, et faire saisir les remèdes ytrouvés. Quadvint-il des poursuites exercées contre ces derniers? Nousnen savons rien, nayant pu retouver aucune pièce faisant allu-sion à eux, sauf la requête adressée au « Lieutenant général dePollice » pour lui dénoncer ces guérisseurs non patentés, etune sentence du lieutenant de police portant défense à Jansondexercer la chirurgie dans létendue du bailliage. Quanta Ler-merot, les poursuites dirigées contre lui aboutirent à un procèsdont les pièces existent encore. Que devint Lermerot ? Alla-t-il transporter son industrie dansune autre ville, ou bien, ce qui est probable, se tenant pour (?ANS la .: ancœnnl: 1!)7. A R R E SX DE LA COUR DE PARLEMENT» Confirmatif d*une Sentence de la Police de Rouen, PORTANTE Défenfes au nommé HERMEROT,/« difantMédecin aux Urines, défaire laProfeflion de Médecin , & de Ven-dre à lavenir , & Débiter aucuns Remèdes * à peine de PunitionCorporelle ,•?& qui, fur les plus amples Concluions de Monfieur»Je Procureur du Roy . a ordonné la Confiscation des Remèdes fur lui faifîs, pour être icelles brûlées en préfence de-rHuiifier de Service , &c. Du neuf Novembre mil fept cens quarante - trois. AN DE GRACE MIL SEPT CENS»Quarante-Trois , le Samedy neu-vième jour de Novembre -. En Juge-ment devant Nous J A C QJJ E SBILLARD DE NAINV1LLE,Ecuyer, Confeilkr du Roy a Lieutenant General A Fig. 30. — Communiquée par le D DerocqueExtraite de La Médecine et lArt en Normandie.
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