. Archives des sciences physiques et naturelles. tte distancepouvait être déterminée à 1/10o ^e nim- Pr^s- ^es dif-férentes pièces du porte-électrodes étaient vissées surdeux plaques débonite, rendues solidaires par troisbaguettes de verre, dont une seulement est visible surla figure (3). Deux petits balais récoltaient le cou-rant et lamenaient aux électrodes. Dans la suite, etafin dobtenir pour chaque métal une température voi-sine de celle de son point de fusion, nous avons dûfixer les électrodes sur des lames de mica (fig. 6) ; desailettes métalliques permettaient alors la dissipation dusur


. Archives des sciences physiques et naturelles. tte distancepouvait être déterminée à 1/10o ^e nim- Pr^s- ^es dif-férentes pièces du porte-électrodes étaient vissées surdeux plaques débonite, rendues solidaires par troisbaguettes de verre, dont une seulement est visible surla figure (3). Deux petits balais récoltaient le cou-rant et lamenaient aux électrodes. Dans la suite, etafin dobtenir pour chaque métal une température voi-sine de celle de son point de fusion, nous avons dûfixer les électrodes sur des lames de mica (fig. 6) ; desailettes métalliques permettaient alors la dissipation dusurplus de la chaleur, empêchant ainsi la fusion. Le porte-étincelles était placé dans une enceinte fer-mée T. Elle était constituée par un large tube de verrepourvu dune tubulure latérale R (fig. 2) et traverséde deux fils de platine PP amenant le courant auxbalais des électrodes. DE LARC ALTERNATIF ENTRE MÉTAUX. 461 Après plusieurs essais nous nous sommes arrêtés,comme fermeture, à une plaque de verre parfaitement. fig. 3. 462 DIFFÉRENCE DE POTENTIEL ET STABILITÉ rodée plane et sappliquant contre le rebord dunedouille de laiton, mastiquée à léprouvette par de lacire à cacheter. Dans ces conditions, la fermeture estexcellente. La tubulure était en communication par unrobinet à deux voies R\ dune part avec la pompe P,dautre part avec latmosphère extérieure F ; sur cettedernière branche était placée une série de tubes dessé-chants. Pour faire le vide, nous nous somme servistout dabord dune pompe à mercure, que nous avonsensuite remplacée par une pompe rotative à un seulcorps de Bianchi, donnant, dans les meilleures condi-tions, un vide poussé à 1,5 cm., bien suffisant pournos expériences. Entre la pompe et léprouvette, etséparée de celle-ci par un robinet R, était un mano-mètre à mercure M ; une règle, fixée sur une cré-maillère, permettaitda lecture des pressions à *és. § 2. Graduation de Vélectromètre. L


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