Tragédies . ANDRONIC. T R A G E D I E. ACTE PREMIER- SCENE PREMIERE. MARCENE, CRISPE. MARCENE. | Uoi j malgré nos chagrins & no-tre longue haine ,b Léon , dis-tu > demande à parler àIl Marcene ? y A moi > Me dis-tu vrai ?Puis-je lecroire ainft ?, Seigneur, & bientôt il doit fe rendre ici, Û A RC quelque S : fur îbn a^c >. An ironie > Pour contraindre un moment le courroux qui V enfla me ?Après que fi long-tems foigneux à moftenfer ,Et dans tous mes defleins prompt à me traverfer ,Il a tenté cent fois dufurper ma ,Et lemploi glorieux que jexerce
Tragédies . ANDRONIC. T R A G E D I E. ACTE PREMIER- SCENE PREMIERE. MARCENE, CRISPE. MARCENE. | Uoi j malgré nos chagrins & no-tre longue haine ,b Léon , dis-tu > demande à parler àIl Marcene ? y A moi > Me dis-tu vrai ?Puis-je lecroire ainft ?, Seigneur, & bientôt il doit fe rendre ici, Û A RC quelque S : fur îbn a^c >. An ironie > Pour contraindre un moment le courroux qui V enfla me ?Après que fi long-tems foigneux à moftenfer ,Et dans tous mes defleins prompt à me traverfer ,Il a tenté cent fois dufurper ma ,Et lemploi glorieux que jexerce à Bifance ?Pour moi, je 1 avoierai, dans ma haine affermi,Je ne regarde en lui quun mortel ennemi ;Et ma faveur fans celle à la Tienne contraire,Me vange aflez des maux quil a voulu me lattendrai pourtant ; & pour être éclairciDeslentimens fecrets dun nomme. ...CRISPE. Le voici. *feE2H SCENE IL MARCENE, LEON, CRISPE. LEON. QUe len nous laiffe ieuls. Seigneur, puis-jeprétendreCrïfiefe retire & Ton continué.Quavec tranquillité vous baignerez mentendre ;Et que de vos foupçons interrompant le cours,Vous pourrez fans contrainte écouter mes dis-cours ? M A K C E ne puis vous celer ma furprife fecrette :Mais dans quelque embarras où ce difeours me jette,Parlez? ne craignez rien, en vous ouvrant àmoijJe le jure,
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