. Némésis médicale illustrée : recueil de satires . ufflent dindolence et bredouillent leurs lois;Mais lices de labeur où de fougueux athlètesCulbutent à lenvi tes faibles proxénètes,Font marcher la science en dépit du pouvoir,Et sillustrent par zèle et non point par devoir. Dans ce conllit nouveau que devient ton é tous les intrigants à hautaine parole M. ORFILA. 115 Flanqués dun escadron dagrégés courtisans , Des luttes de mémoire habiles artisans, Et loi-même si fier du souris monarchique , Toi, digue sans appui du (loi démocratique? Lorage a sous tes pas effacé tout sillon ; Les ven


. Némésis médicale illustrée : recueil de satires . ufflent dindolence et bredouillent leurs lois;Mais lices de labeur où de fougueux athlètesCulbutent à lenvi tes faibles proxénètes,Font marcher la science en dépit du pouvoir,Et sillustrent par zèle et non point par devoir. Dans ce conllit nouveau que devient ton é tous les intrigants à hautaine parole M. ORFILA. 115 Flanqués dun escadron dagrégés courtisans , Des luttes de mémoire habiles artisans, Et loi-même si fier du souris monarchique , Toi, digue sans appui du (loi démocratique? Lorage a sous tes pas effacé tout sillon ; Les vents, qui tont froissé dans leur noir tourbillon, Ont ployé le roseau de la frêle espérance; El conseiller, doyen, que dis-je, pair de France ! Dépouillé, nu, tremblant, lu résistes en vain; Ton cœur ne répond plus aux appels de la main. Ta pensée est sans âme, imperceptible atome Quon fuit avec effroi comme on fuit un fantôme, Ton règne dun moment esl à jamais passé; Pourtant le flot est calme cl les vents oui cessé.. &3m NOTES IJK LA CINQUIÈME SATIRE. .; o; , 1. Madame la princesse de Vaudemon, bien connue par ses relationsde diplomatie secrète el de galanterie publique. 2. M. Orfila occupe la chaire de chimie depuis la destitution, en 1825de lillustre \ auquel in. 5. Académie de médecine ; novembre ;4, discussion sur lutilitédu tritoxyde de Fer hydraté dan- lempoisonnement par lacide arséniem ?t. Voir ses fautes de français Lancette du lii juin 1853 , 5. Le Pot-au-feu, dont M. Orflla a Fail tan) de bruit, appartienl eneffel a Kose; ce qui appartient a M. Orfila en toute propriété . cest dàvoir fait de Takénius, chimiste <lu du septième siècle . un malade dtlip-pocrate. t\ Voir le compte-rendu du procès de Dijon Gazetti des hôpitaux 118 NOTES. fin de décembre 1X39); on ne peut se taire une idée de la présomptueuseignorance <lu doyen quen lisant la discussion qui sétablit entre lui etM. Raspail, et dans lequel c


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