. Bulletin. Socit d'histoire naturelle d'Autun (France); Natural history; Natural history -- France. TOXICOLOGIE AFRICAINE 271 dis[)araissant ordinairement avant l'anllièse, les caulinaires subsessiles; fleurs d'un rose pâle ou violettes, disposées en rameaux lâches, pédon- culées, à pédoncules plus coui'is que la fleur et finissant par égaler presque la longueur de la capsule, portant deux petites bractées vers leur milieu ; éperon sub-ar([ué, égalant le double de la longueur de la fleur ; 2 pétales supérieurs réunis en un seul éperonné, les inférieurs nuls; le lobe médian
. Bulletin. Socit d'histoire naturelle d'Autun (France); Natural history; Natural history -- France. TOXICOLOGIE AFRICAINE 271 dis[)araissant ordinairement avant l'anllièse, les caulinaires subsessiles; fleurs d'un rose pâle ou violettes, disposées en rameaux lâches, pédon- culées, à pédoncules plus coui'is que la fleur et finissant par égaler presque la longueur de la capsule, portant deux petites bractées vers leur milieu ; éperon sub-ar([ué, égalant le double de la longueur de la fleur ; 2 pétales supérieurs réunis en un seul éperonné, les inférieurs nuls; le lobe médian du pétale unique (formé de la réunion des deux supérieurs), large, tronqué, portant deux dents courtes, dépassées par les lobes latéraux, ovales, subar- rondis; capsule unique, oblongue, comprimée sur le côté, pubescente, glan- duleuse, brusquement terminée par un bec long, arqué; graines pyramidales subtétragones, écaillouses, à écailles larges, émarginées, imbriquées. Historique. â Ce Deîphinium, décrit par Cosson en 1880, appartient à la section Consolida de De Candole, voisin des Delphiniujn rigidum DC, et glandidosum Boiss, il en a été séparé par son inventeur, en ce qu'il s'en distingue tout par- ticulièrement par la disposition spéciale de son pétale supérieur. Chimie. â Le Deîphinium Maiiritanicum n'a été l'objet d'aucune étude chimique ; ayant pu nous procurer une quan- tité notable de ses graines, nous les avons soumises à l'analyse qui nous a fourni les mêmes principes que ceux des formes du même genre précédemment examinées. Toujours par le procédé de Marquis et de Draggendorff, nous avons obtenu principalement de la Delphinine, mais en propor- tion beaucoup plus considérable qu'avec les graines des Deîphi- nium Staphysagria et peregrinum. Marquis et Draggendorff, on le sait, estiment à 1 pour 1
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