. Le Jardin des plantes : description. [Martinde Tours, voulaient visiter la sainte cité de (Pologne et honorer lesreliques des trois Mages. Quentin Durxvard était censé leur maîtredholel. Sans bien définir la cause de son ivresse, Quentin Diirward sentitbattre son cuur à lidée de se rapprocher de la beaiilc de la tourelle,dacquérir des droits à sa confiance, de la protéger dans un longvoyage, il se promit de réussir; il ne iloiila pas nièiiie du succès. Lajeunesse songe rarement aux dangers, et Durward , élevé dans uneindépendance complite, liabitiié ii compter sur ses propres forces,ne soccu


. Le Jardin des plantes : description. [Martinde Tours, voulaient visiter la sainte cité de (Pologne et honorer lesreliques des trois Mages. Quentin Durxvard était censé leur maîtredholel. Sans bien définir la cause de son ivresse, Quentin Diirward sentitbattre son cuur à lidée de se rapprocher de la beaiilc de la tourelle,dacquérir des droits à sa confiance, de la protéger dans un longvoyage, il se promit de réussir; il ne iloiila pas nièiiie du succès. Lajeunesse songe rarement aux dangers, et Durward , élevé dans uneindépendance complite, liabitiié ii compter sur ses propres forces,ne soccupait des périls que pour les braver. Il lui tardait il êtreaflranclii de la présence royale pour goûter la joie que lui causaientces nouvelles inattendues, et sabandonner ii des transports quiaiiriient éli dune liaiile inconvenance devant .Sa é Irès-Chré-tieiine. Mais Louis navait pas fini avec lui. Le prévoyant iiioiiari|ue avaità consulter un conlident dune autre espèce quOlivier le Diable, Ouenlin Dursvard accompagDait Isabelle et Hamihne. qui passait pour recevoir ses inspirations des astres, comme Olivierde Satan en personne, car on jugeait de la cause par leftet. Suivi de limpatienl Quentin, louis sachemina vers une tour iso-lée , où était maijiiifiquemenl installé lillustre astroloi;ue, poète etphilosophe, Galeotti , Marlias ou Martivalle, natif de ^arni enItalie. Auteur du fameux traité Ue vuliji) iniiiiiuilis , il était lobjet deladmiration de son siècle et des panégyriques de Paul Jove. Il avaitlongtemps tleiiri à la cour du célèbre Malliias Corvin, roi de Hon-grie, auquel lavait enlevé Louis Xî, qui lui enviait un sage si habileà lire les décrets des cieux. Alartivalle nétait pas de ces savants frêles et décharnés qui su-saient la vue auprès de leurs fourneaux ardents, et se fatiijuaient àobserver lOurse polaire. Il sabandonnait à tous les plaisirs de la cour;avant de devenir obèse, il avait ex


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