. Poésies. LE COMTE ADICK, A MON CHER ONCLE PAUL RICHER. La trompette des alarmesA sonné dans les châ comte Adick prend ses armesEt rassemble ses lappel de la patrie,Jamais magnat de HongrieNa tardé, même dun met sa cotte de maille;Son bon cheval de batailleHennit au pied de la tour. Une belle et noble DameRegarde tous ces apprêts,Et sourit, la mort dans lâ sourire pur et frais :Cest la jeune fiancée. 132 Qui concentre sa penséeSur le Comte, ses amours,Quelle voit, de sa fenêtre,Partir, pour longtemps peut-être .Et peut-être pour toujours. Mais de gémir elle a h


. Poésies. LE COMTE ADICK, A MON CHER ONCLE PAUL RICHER. La trompette des alarmesA sonné dans les châ comte Adick prend ses armesEt rassemble ses lappel de la patrie,Jamais magnat de HongrieNa tardé, même dun met sa cotte de maille;Son bon cheval de batailleHennit au pied de la tour. Une belle et noble DameRegarde tous ces apprêts,Et sourit, la mort dans lâ sourire pur et frais :Cest la jeune fiancée. 132 Qui concentre sa penséeSur le Comte, ses amours,Quelle voit, de sa fenêtre,Partir, pour longtemps peut-être .Et peut-être pour toujours. Mais de gémir elle a honte,Car la Hongrie en dangerAppelle le noble ComtePour combattre et la brillants éclairs du sabre,Au destrier quise cabre,Elle rit avec effort;Elle parle de victoire,De prochain retour, de rêve blessure et mort. » Je pars, ma blonde Gisèle; Mais je te rapporterai Et mon cœur aussi fidèle, Et mon nom plus honoré. Cet anneau de fiancée Tient mon âme à toi fixée Dun


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