. Bulletin de la Société entomologique de France. Entomology. 464 Bulletin de la Société entomologique de Dimensions. âLa taille peut varier dans d'assez notables proportions, comme on le \oilen comparantles figures 1 et 2 exécutées à la môme échelle. Longueur totale, 230 à 340 jj.; réceptacle, 60 à 90 p., périthèce, 170 à 250 [x; appendice 80 à 9o [jl; anthéridies 20 [j.; spore, oO [x. Habitat. â Sur le thorax, les élytres, et plus ra rement à la base de l'abdomen de Stenus aceris Steph. iaerosus Er.), vivant dans les mousses de la forêt de St-Guilhem-le-Désert (Hérau


. Bulletin de la Société entomologique de France. Entomology. 464 Bulletin de la Société entomologique de Dimensions. âLa taille peut varier dans d'assez notables proportions, comme on le \oilen comparantles figures 1 et 2 exécutées à la môme échelle. Longueur totale, 230 à 340 jj.; réceptacle, 60 à 90 p., périthèce, 170 à 250 [x; appendice 80 à 9o [jl; anthéridies 20 [j.; spore, oO [x. Habitat. â Sur le thorax, les élytres, et plus ra rement à la base de l'abdomen de Stenus aceris Steph. iaerosus Er.), vivant dans les mousses de la forêt de St-Guilhem-le-Désert (Hérault), récoltés par M. Lavagne, à qui je dédie cette espèce. Le genre Acallomyces ne comprenait jusqu'à présent qu'une seule es- pèce, Acallomijces Jioma- lotae Thaxt. [parasite d'un Homalota {Atheta) vivant dans des Agarics décomposés, en Améri- que. Acallomyces Lava- gnei diffère d'i. honw- lotae par sa taille à peu près double, les cellules étroites el obliques de son réceptacle, son péri- thèce moins renflé. la forme très différente des lèvres du périthèce, et le mode d'insertion un peu dissemblable des anthéridies. Thaxter ne parle pas du nombre des cellules ascogènes chez A. homalotae. A. Lavagnei n'en possède qu'une, ce qui le rapproche des Acompsomijces. Ces deux genres sont certainement très voisins et ne diffèrent guère que par la présence d'une anthéridie à la base de l'ap- pendice chez le second. Th.\xter rapproche aussi les Acallomyces des Sfig)natO)iiyces, mais ce dernier genre se distingue par ses deux cel- lules ascogènes donnant quatre tiles d'asques. Quant aux affinités avec les Polyascomyces, elles ne me paraissent pas bien nettes, le nombre des cellules ascogènes étant très considérable dans ce genre et ses an- théridies étant inconnues. Quoique j'aie eu l'occasion d'examiner un très grand nombre de Ste-


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