Histoire de la vie politique et privée de Louis-Philippe . etit désert; Lexpédition et la prise deBiskara par le duc d.\umale; La soumission du Riban et des monts Aurés; La soumission des Kabyles ; La soumission des Flittas; La soumission du scheiU de Tuggurt. Ce fut le 27 janvier de cette année 1844, que mourut CharlesNodier, à lâge de soixante-quatre ans. Nodier, auteur de Jean Sbognr et de Thcrcse Anbcrt, fut leprécurseur de la littérature moderne de genre en France, commeWalter-Scott en Angleterre, fut le précurseur de la littérature his-torique, comme Cooper en Amérique, fut le précurseur
Histoire de la vie politique et privée de Louis-Philippe . etit désert; Lexpédition et la prise deBiskara par le duc d.\umale; La soumission du Riban et des monts Aurés; La soumission des Kabyles ; La soumission des Flittas; La soumission du scheiU de Tuggurt. Ce fut le 27 janvier de cette année 1844, que mourut CharlesNodier, à lâge de soixante-quatre ans. Nodier, auteur de Jean Sbognr et de Thcrcse Anbcrt, fut leprécurseur de la littérature moderne de genre en France, commeWalter-Scott en Angleterre, fut le précurseur de la littérature his-torique, comme Cooper en Amérique, fut le précurseur de la litté-rature descriptive et pittoresque. CHAPITRE XXIIL Grâce aux concessions que nous venions de faire à lAnglcfeiTjdans locéan Pacifique et dans le Maroc, la paix si bien appelée lapaix à tout prix, avait été maintenue. En la maintenant avec cetcobstination, le roi avait bravé deux dangers, dabord celui dilim-popularité, puis, danger plus grave, celui de compromettre la paixpar son obstination même à maintenir cette ic î-riecae fto Paris hap do Perad LAKQJIKBICIIEIKIE 201 Le roi, dans son discours douverture pour la session 1843, annon-çait le maintien de ces bonnes relations avec lAngleterre, signalaitextension de lindustrie nationale et le développement du conuuerceintérieur et extérieur, et signitlait le mariage du duc dAumale avecla fdie du prince de Salerne, oncle du roi de Naples régnant. Ainsi, tant bien que mal, Louis-Philippe enlaçait les rameaux desa famille aux maisons souveraines dEurope. La discussion de ladresse fut vive sur deux points: Lindemnité accordée au missionnaire Prilchard; Lévacuation de Mogador sans indemnité accordée, et bien avantle temps tixé. On disait tout haut à la Chambre, que cétait lAngleterre qui avaitexigé et lindemnité et lévacuation. Mais sur toutes ces questions, le ministère Guizot, qui par sestriomphes mêmes devait conduire la monarchie à sa perte, eut lamajor
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