. comptesrendusheb1451907acad. es naturelles. SÃANCE DU 2 1 OCTOBRE I907. 676 en grandeur, flireclion et sens, la droite A, A, qui Ii's joint étant perpendiculaire à leurs trajectoires parallèles. En un point quelconque M les cliamps magnétiques M/i, et MAj créés séparément par A, et Aj sont dans un plan perpendiculaire à la direction MV des vitesses, et respectivement perpendiculaires aux plans MA, V'i et MV^Vj; ces champs Fis. font donc entre eux l'angle oj de ces deux, plans. En désignant par /;, et A, les intensités des deux champs, l'intensité II du champ résultant est donc


. comptesrendusheb1451907acad. es naturelles. SÃANCE DU 2 1 OCTOBRE I907. 676 en grandeur, flireclion et sens, la droite A, A, qui Ii's joint étant perpendiculaire à leurs trajectoires parallèles. En un point quelconque M les cliamps magnétiques M/i, et MAj créés séparément par A, et Aj sont dans un plan perpendiculaire à la direction MV des vitesses, et respectivement perpendiculaires aux plans MA, V'i et MV^Vj; ces champs Fis. font donc entre eux l'angle oj de ces deux, plans. En désignant par /;, et A, les intensités des deux champs, l'intensité II du champ résultant est donc donnée par (0 H-: hl -\- lll, /l., COSd), en prenant pour l'angle w des deux plans celui (jui devient égal à r. quand le point M se trouve dans le plan V,A,A2V,. Or, l'énergie du champ magnétique dans un vo- lume dv autour de M est donnée, comme on le sait, par la relation (2) tP h^ h- cos(j)dv. Cette énergie dift'ère de la somme des énergies que donneraient isolément les deux corpuscules A, et Aj par le terme en cosco, qui est positif ou négatif suivant que cosu est lui-même positif ou négatif. Or, à l'intérieur du cylindre G droit à base circulaire ayant A, Vi et Ã2V0 comme génératrices opposées, cosoj est négatif et à l'extérieur de ce cylindre il est positif; il en est donc de même pour l'excès de l'énergie du champ résultant sur la somme des énergies des deux champs composants. Désignons maintenant par R le rayon de la sphère au delà de laquelle le champ magnétique produit par un corpuscule occupant le centre de la sphère a une énergie négligeable. Appelons S, et Sj les sphères de rayon K ayant pour centres A, et A,. Si la distance Ai A., de ces deux corpuscules est supérieure à 2R, les sphères S, et S, n'ont pas de parties communes : la masse de chacun des corpuscules est normale. Mais, si la distance A, Aj est un peu inférieure à 2R, les sp


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